« Moi, dit MmeSand dans la préface de son drame intitulé Molière, je crois que Molière eût méprisé et oublié une femme dissolue ; je crois qu’il a pu estimer la sienne, qu’il n’a souffert que de son ingratitude, de sa coquetterie, de ses travers, de sa sécheresse, et que c’en était bien assez pour le tuer. » Certes, mais comment soutenir que Molière ne souffrit que de cette humeur ? […] Son pamphlet, intitulé Le Roi glorieux au monde, qu’Aimé Martin avait vu et que M. […] À propos de Lulli, je trouve, dans une publication entreprise par feu Quérard, le bibliographe, et intitulée Le Quérard (tome II, p. 640), un renseignement qui vaut d’être recueilli sur un factum curieux : Requeste du sieur Guichard contre les sieurs J. […] * Voir ce que nous avons dit du talent d’imitation de Molière au chapitre intitulé Molière comédien.
Don Garcie de Navarre, ou le Prince Jaloux, Comédie héroïque en cinq actes & en vers, comparée pour le fond & les détails avec une tragi-comédie italienne intitulée il Principe geloso, le Prince jaloux, par Cicognini.
Cette question générale, je la traite à part dans un volume intitulé Rousseau penseur et qui sera publié après celui-ci. […] Vous pouvez avoir vu à la Comédie-Italienne une pièce intitulée la Vie est un songe. […] Remarquez que, quoique Fabre ait intitulé sa pièce le Philinte de Molière, il a le droit defaire ces changements profonds ; car s’il l’a intitulée le Philinte de Molière, il l’a intitulée aussi la Suite du « Misanthrope ». […] Il s’intitulait citoyen de Genève, d’abord par sentiment aristocratique, à coup sûr, et pour rappeler qu’il appartenait à la classe aristocratique de Genève dont seuls les membres portaient ce titre ; mais aussi pour se distinguer des Français, qui eux étaient des sujets, et il faut observer le ton contempteur avec lequel il fait remarquer, dans une note du Contrat social, que les dictionnaires français ne savent même pas le sens du mot « citoyen ».
Un seul écrit atteste le dépit dont les ennemis de Molière durent être animés dans cette circonstance si glorieuse pour lui ; c’est une ignoble satire en forme dramatique, intitulée Critique du Tartuffe.