Elle a donné lieu à une explosion d’écrits, de libellés, de pamphlets, d’imprimés de toute sorte.
[Note] Mon frère, Cher ami, j’imprime cette petite chose pour que tu puisses la lire, n’ayant pu l’entendre.
Le changement que j’introduis dans le texte n’est donc qu’une restitution, et c’est ainsi qu’on doit imprimer ce passage à l’avenir.
C’est aussi par de faux et frivoles scrupules que Molière a été obligé de sacrifier la scène du pauvre, ou du moins de la réduire dans les éditions imprimées à un texte insignifiant. […] Il y a encore, dans le rôle de Sganarelle, un mot qui a beaucoup blessé les spectateurs de la première représentation et que Molière a fait disparaître dans les éditions imprimées : c’est le dernier mot de la pièce.