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161. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236

Les admirateurs du génie de Molière ont besoin de chercher des excuses à son Amphitryon, dans son désir immodéré de plaire au prince qui Pavait subjugué par sa gloire et ses bienfaits, da us la corruption générale qui demandait au poète comique de faire rire le public aux dépens des époux malheureux, peut-être même dans l’espèce d’héroïsme auquel le poète avait voulu s’élever en se rangeant du côté des rieurs, lui à qui les désordres de sa femme avaient couté tant de larmes amères.

162. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Il est honteux que les hommes de génie & de talent s’exposent, par cette petite guerre, à être la risée des sots ». […] Il a mis dans tous ses ouvrages des graces minaudieres qui lui ont enlevé pour toujours le titre d’homme de génie.

163. (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67

Je dis plus, je me suis imaginé que son Ouvrage n’est qu’un ramassis des différents sentiments que l’on a répandus sur mon travail ; si tout était parti de son génie, il y aurait peut-être plus d’ordre, et moins de contradiction dans sa Critique. […] J’honore parfaitement Mr Baile, et je connais peut-être mieux la vaste étendue et la solidité de son génie, que mon Censeur ne la connaît ; mais je ne veux point être l’esclave de ses sentiments sans les examiner.

164. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273

ils varient, comme le dialogue, selon le caractere, la situation du personnage, & le génie de l’Auteur.

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