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94. (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151

Le principal objet des attachements de cette fille était le fils d’un tapissier, qui formait une troupe de comédie en 1645.

95. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354

J’ai prié M. de Montchevreuil de former de ce qu’il y avait à vendre.

96. (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366

Ces deux partis rentrent l’un dans l’autre, et n’en forment qu’un seul. […] Finissons par une remarque qui achève de prouver, contre l’opinion de La Bruyère, quelle idée juste Molière s’est formée du personnage d’hypocrite, et en même temps quel art il a employé dans la peinture de ce caractère.

97. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie… Dirons-nous cependant que Molière pense comme Gorgibus et Chrysale ? […] N’est-ce pas un peu la pensée de Tacite : « Promptum ad deteriora vulgus », et celle de Comte : « Former l’hypothèse la plus simple et la plus sympathique, compatible avec l’ensemble des renseignements obtenus » ?

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