(Le Comte entre en marchant à grands pas & la tête levée : ses six laquais se rangent au fond du théâtre, d’un air respectueux : Pasquin est un peu avancé.)
Les Facheux, Comédie en trois actes & en vers, comparée, pour le fond & les détails, avec un acte d’une comédie italienne intitulée le Case svaliggiate, ou gli Interompimenti di Pantalone ; les Maisons dévalisées, ou les Embarras de Pantalon ; avec deux Satyres, l’une d’Horace, l’autre de Regnier ; & avec un discours du Spectateur Anglois.
Ces canevas nous paraissent appartenir, au moins pour le fond, à la période où les rôles des deux zanni acquirent une importance exceptionnelle sur le théâtre italien de Paris, grâce au talent supérieur du Trivelin Locatelli et de l’Arlequin Dominique, qui y régnèrent l’un à côté de l’autre de 1662 à 1671, époque où le premier mourut et Dominique resta seul maître de l’emploi.
L’Ecole des Maris, Comédie en trois actes & en vers, comparée pour le fond & les détails avec les Adelphes de Térence ; une Nouvelle de Bocace ; la Confidente sans le savoir, Conte de la Fontaine ; la discreta Enamorada, ou l’Amoureuse adroite, comédie de Lopès de Vega Carpio ; la Femme industrieuse, comédie en vers & en un acte, par Dorimon.