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218. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

Diafoirus fils qui doit incessamment être son gendre.

219. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

On comprend que Boileau, vieux et chagrin, voyant cette décadence, s’écriât : « En vérité, les Pradons, dont nous nous sommes tant moqués, étaient des aigles auprès de ces gens-là. » Il faut être juste cependant : à cette époque où, sous Mmede Maintenon, la cour voyait succéder la dévotion et la tristesse aux fantaisies brillantes d’autrefois, où Louis XIV, frappé dans ses affections les plus chères, après avoir vu mourir autour de lui ses fils et ses petits-fils, restait presque seul de sa famille dans son palais morne et silencieux, il y a encore un coin de la littérature où toute la vie intellectuelle du temps semble s’être réfugiée : c’est la comédie.

220. (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67

Je souhaite en avoir assez dit pour qu’il puisse comprendre que les principes de l’Orateur, qui prononce en public, sont communs à la Chaire et au Théâtre ; et qu’ainsi Mr de Chapelle ne parlait point tout à fait comme un extravagant, lorsqu’il dit que le fils de l’Avocat, qui voulait se donner au Théâtre, ferait un vol au public, s’il ne se faisait Prédicateur, ou Comédien.

221. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135

Ainsi l’avare au compte de la comédie, est également indigne et incapable d’être un bon père de famille ; on nous le montre en haine à sa fille, en mépris à son fils.

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