/ 226
189. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74

Hé bien, dit le Visir, voici leur entretien :  Ils parlent d’unir leur famille : L’un est pere d’un fils, & l’autre d’une fille,  Qu’ils veulent ensemble établir, Et voici ce que l’un disoit à l’autre pere :  Ecoutez, je prétends, mon frere, Que nos enfants soient bien, qu’ils ne puissent faillir ; Et pour que leur état soit durable & tranquille, Je n’accorderai rien si vous ne leur donnez  Trente villages ruinés,  Item, quelque petite ville.

190. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110

Au-dessous de ces géants de l’humour, il est un fils de pasteur que l’on pourrait citer150.

191. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217

Mais son fils Alcidas le remplace avec deux épées & un bâton : il prie fort poliment Sganarelle de se couper la gorge avec lui, ou d’épouser sa sœur.

192. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

Mais il est certain qu’on n’en peut juger de cette sorte sans prendre le nœud pour le dénouement ; et si je puis me servir de l’exemple d’Héraclius, tout ce qui se passe avant le quatrième acte ne tient lieu que de préparatifs pour mettre Phocas entre deux princes, dont il sait que l’un est son fils, et l’autre celui de Maurice, sans qu’il puisse connaître lequel des deux est l’ennemi dont il a juré la perte, et c’est ce qui en fait le nœud. […] Vie de Molière, avec des jugements sur ses ouvrages, in-12, Paris, Prault fils, 1739.

/ 226