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125. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489

Mais qu’on ne se figure point qu’une méprise, une équivoque, &c. soient comiques par elles-mêmes, & qu’il suffise d’en introduire dans une piece pour la rendre plaisante.

126. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191

Pourquoi prendre, Monsieur, mon nom & ma figure ?

127. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240

Comme il a pris la figure de Sosie, c’est sur ce malheureux esclave que tombe toute la vengeance d’Amphitrion ; cependant les chefs de l’armée, que Jupiter, pour se défaire de Sosie, a fait inviter à dîner, voyant deux Amphitrions, ne savent de quel parti se ranger.

128. (1818) Épître à Molière pp. 6-18

Cependant, à une des représentations du Solliciteur, l’expression de figure féodale, d’autant plus comique dans la bouche de M. l’Espérance qu’elle était en situation, eut le malheur de déplaire à quelques oreilles, bien chatouilleuses on l’avouera, et cette plaisanterie fut supprimée à la représentation suivante.

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