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107. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

— Toujours, bien qu’elle ne soit plus jeune, et.qu’on l’ait chansonnée quand elle fit la naïade dans le prologue des Fâcheux.. […] Ô fâcheux examen d’un mystère fatal Où l’examinateur souffre seul tout le mal !

108. (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146

Mais s’il lui restait encore quelque ombre de pudeur, ne lui serait-il pas fâcheux d’être en butte à tous les gens de bien, de passer pour un libertin dans l’esprit de tous les prédicateurs, et d’entendre toutes les langues que le saint Esprit anime condamner publiquement son blasphème ? […] Voici de quelle manière Cailhava l’avait refait : il est fâcheux qu’un auteur qui avait passé sa vie à commenter Molière, et qui n’a guère de célébrité que par son admiration fastueuse pour ce grand homme, se soit vu contraint à porter la main sur son chef-d’œuvre.

109. (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436

Comme ces deux grands moralistes, il a sans doute eu le tort de condamner, d’une manière trop absolue, un art dont l’utilité, en beaucoup de cas, ne saurait être niée raisonnablement ; de lui contester tous les heureux succès, en lui imputant tous les accidents fâcheux ; enfin de ne pas séparer l’abus de l’usage, et surtout de ne pas distinguer assez l’impuissance qui tient à l’inexpérience, à la présomptueuse impéritie des hommes, de l’impossibilité qui résulte de la nature éternelle des choses.

110. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

Cléante, très embarrassé par la présence du pere de sa maîtresse & de son rival, entreprend cependant de parler de son amour, malgré tous les fâcheux qui l’environnent, & de savoir s’il est payé de retour.

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