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67. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250

Le Docteur n’est pas tenté de gagner de l’argent à ce prix. […] Le Duc & le Docteur sont surpris qu’on n’ait pas encore découvert le meurtrier du Commandeur.

68. (1871) Molière

Les uns et les autres, à peine ils eurent touché à l’ancienne comédie, ils trouvèrent qu’elle était impuissante à satisfaire leur fantaisie, et Poquelin, pour leur plaire, inventa Le Docteur amoureux, Le Maître d’école et Les Trois Docteurs.

69. (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252

C’étaient Les Trois Docteurs rivaux et Le Maître d’école, dont il ne nous reste que les titres. […] Cependant Boileau regrettait la perte du Docteur amoureux, autre bouffonnerie du même genre, « parce que, disait-il, il y a toujours quelque chose d’instructif et de saillant dans ses moindres ouvrages ». […] La Grange et Vinot viennent de nous dire que « la manière dont il s’acquitta du rôle du Docteur amoureux » fut déterminante pour enlever l’autorisation du Roi. […] Aujourd’hui, nous le savons, on trouve encore des gens qui, sans compter de parents dans la Faculté, sans nourrir de rancune contre l’auteur qui flétrit l’hypocrisie, regardent comme plus comique que fondée la guerre qu’il déclara aux docteurs de son temps. […] C’est pour le fils de ce docteur qu’il adressa à Louis XIV le dernier des placets qui précèdent Le Tartuffe.

70. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492

Je suis, pour vous servir, Gentilhomme Auvergnac, Docteur dans tous les jeux, & maître de trictrac.

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