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165. (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331

Voici comme il se peint : «Zelmis est un cavalier qui plaît d’abord; c’est assez de le voir une fois pour le remarquer; et sa bonne mine est si avantageuse, qu’il ne faut pas chercher avec soin des endroits dans sa personne pour le trouver aimable; il faut seulement se défendre de le trop aimer. » Passe pour l’éloge, puisqu’il faut qu’un héros de roman soit accompli; mais sa bonne mine, qui est si avantageuse, et les endroits de sa personne ne sont pas une prose digne des vers du Légataire et du Joueur.

166. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

A la table royale il le convie un jour ; Il fait plus : à Versaille, entouré de sa cour, Avec cette princesse, alors heureuse et belle Qu’un cri de Bossuet devait rendre immortelle15, De Molière outragé, que son grand cœur défend, Sur les fonts de baptême il veut tenir l’enfant, Et le fils d’un acteur, malgré l’intolérance, A reçu devant Dieu le nom du roi de France.

167. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

Nous craignons peu vos menaces, et nous sommes tous trois bien résolus de nous défendre si l’on nous attaque.

168. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548

On ne m’a jamais vu ce fol entêtement, Et d’un Grec là-dessus je suis le sentiment, Qui, par un dogme exprès, défend à tous ses sages L’indigne empressement de lire leurs ouvrages.

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