/ 140
79. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327

Tu as le diable au corps.

80. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434

On dira, de Paris, dans cent ans, comme aujourd’hui, de Paris, la ville active, ingénieuse, orageuse et turbulente, qu’elle était la tête d’un corps énorme, et qu’elle absorbait injustement tout un vaste empire. […] jetez-vous, à corps perdu, dans les bras de la fée lumineuse embrassez-la, qu’elle vous aime, vous encourage et vous console ! […] … Mais enfin l’arrêt était porté ; il a fallu descendre dans l’oubli, cette tombe anticipée des plus grands artistes. — Âme, je te dégage de ton corps !

81. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

L’inégalité des conditions est née de celle des génies et des courages. » B : « La vigueur du corps n’établit-elle pas une supériorité et par là un moyen ?  […] Et plus loin, à propos de      à son corps défendant. […] Dorine Et l’on sait qu’elle est prude, à son corps défendant. Les badauds rient démesurément de ce vers à cause du mot son corps. […] Léandre … Mais je veux en avoir la confession de ta propre bouche, ou je vais te passer cette épée au travers du corps.

82. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60

Sangsue, Procureurs, l’un au Châtelet, l’autre au Parlement, qui font l’énumération de leurs fripponneries ; un petit Abbé, grand compositeur d’énigmes, qui, avec toute la prétention possible, vient lire celle-ci, dont le mot est est un vent échappé par en bas : Je suis un invisible corps, Qui de bas lieu tire mon être, Et je n’ose faire paroître Ni qui je suis, ni d’où je sors.

/ 140