/ 175
131. (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-

Jusqu’ici la littérature s’est attachée à l’étude des accidents, sans regarder le fonds commun qui les supporte, — au détail des maladies, sans étudier le malade lui-même, l’homme.

132. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278

On fait trop d’honneur à un but si commun et à des moyens si vulgaires, en leur attribuant cette prodigieuse élévation : c’est aussi méconnaître le pouvoir d’un excellent esprit, d’une âme parfaite, jointe aux charmes de la figure.

133. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

Madame de Thianges, sœur de madame de Montespan, et madame d’Heudicourt, amie commune de la favorite et de madame Scarron, s’en mêlèrent aussi ; elles écrivirent l’une et l’autre à madame Scarron.

134. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

D’une manière plus générale, elle manque de réalité, elle est en dehors et au-dessus de la vie commune, elle est invraisemblable. […] Par là il rapproche la comédie de la vie commune. […] Cependant, par une conséquence naturelle, plus le vers de Molière se rapproche ainsi de la conversation et de la vie commune, plus aussi il devient « prosaïque ».

/ 175