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173. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

Un comédien corrigea la cour et la ville, et fit voir que c’est le bon esprit qui enseigne le bon ton que ceux qu’on appelle les gens du monde croient posséder exclusivement. […] De Villiers, comédien de l’hôtel de Bourgogne, vengeait l’injure de tous ses camarades, que Molière avait joués dans l’Impromptu de Versailles, où il contrefaisait leur déclamation emphatique. […] On s’occupait, quelque temps avant sa mort, à lui faire quitter l’état de comédien, pour le faire entrer à l’Académie française.

174. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203

Le même Prince voyoit jouer le ** par ses comédiens ; les beaux esprits qui l’entouroient sourioient à tous les traits fins, délicats, à toutes les épigrammes dont cette piece fourmille.

175. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380

Il est affreux qu’un Auteur s’expose à se faire dire en pleine assemblée par un Comédien : Monsieur, votre Piece peche contre les mœurs, je n’y jouerai point.

176. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

Elle est racontée dans la Vie de Scaramouche, par le sieur Angelo Constantini, comédien ordinaire du roi dans sa troupe italienne, 1698, chap. 25.

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