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131. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

LES BOURGEOISES A LA MODE.

132. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468

Si, comme je l’ai dit, il est contraint, pour vivre, à s’unir avec la fille d’un roturier, il croira que son alliance vaut les biens que sa future doit lui apporter, & loin de dérober à tous les yeux son pere, parcequ’il a un mauvais habit, il le croira assez paré de ses titres, sur-tout pour paroître devant de petits bourgeois.

133. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143

Regnier le pere, qui étoit un homme de plaisir, fit bâtir, en 1573, un jeu de paume des démolitions de la citadelle de Chartres, qui lui furent données par le crédit de l’Abbé Desportes son beau-frere ; &, comme ce jeu portoit le nom de Tripot-Regnier, on a dit que le Poëte satyrique étoit fils d’un Tripotier : cependant son pere s’étoit qualifié dans son contrat de mariage d’honorable homme, titre qui dans ce temps-là ne se donnoit qu’aux plus nobles bourgeois ; & son frere, Antoine Regnier, fut Conseiller Elu dans l’Election de Chartres.

134. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292

Quand Molière et ses acteurs allèrent représenter la comédie-ballet du Bourgeois gentilhomme à Chambord, puis à Saint-Germain, en octobre et novembre 1670, nous voyons, d’après l’état officiel47, les dépenses accessoires s’élever à la somme considérable de 49 404 livres, 18 sous.

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