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147. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

J’ai déjà montré quelle est en général la morale que l’on peut attendre de la comédie ; c’est l’art de la vie, l’application de la science des mœurs : sous ce rapport, les pièces de Molière contiennent souvent des observations frappantes, exprimées avec bonheur, et qui ont encore aujourd’hui de la justesse ; mais souvent aussi on retrouve ce qu’il y avait d’étroit dans ses propres opinions, ou dans celles qui régnaient de son temps.

148. (1739) Vie de Molière

Les fêtes que Louis XIV donna dans sa jeunesse, méritent d’entrer dans l’histoire de ce monarque, non-seulement par les magnificences singulières, mais encore par le bonheur qu’il eut d’avoir des hommes célèbres en tous genres, qui contribuaient en même temps à ses plaisirs, à la politesse, et à la gloire de la nation.

149. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

Quel bonheur d’avoir l’esprit au large, et de sentir le beau sans la permission de la logique !

150. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

Mais quel bonheur est sans mélange, et quelle gloire sans envie ?

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