De même Chrysale, dépité de voir son valet laisser brûler son rôt en lisant quelque histoire, las d’être méprisé injustement, mal servi dans une demeure d’où le raisonnement a banni la raison, pourra s’écrier : Vos livres éternels ne me contentent pas Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile… Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et sache tant de choses.
Il faut beaucoup de bonne volonté pour en faire un « important monument dramatique, » ainsi que s’exprime M.
Si cet éloge exclut l’idée d’une chute, on ne saurait nier du moins que, par routine ou préjugé, beaucoup de prétendus connaisseurs et gens du bel air se refusèrent à goûter une pièce qui leur semblait manquer aux lois de la haute comédie, parce qu’elle n’était pas écrite en vers. […] Ajoutons que le rôle d’Arsinoé venant contrôler la conscience de Célimène n’eut rien d’invraisemblable, dans un temps où l’on rencontrait beaucoup de directeurs laïques. […] Dans un article du Mercure (12 mai 1672), Donneau de Visé le dit expressément : « Beaucoup de gens font des applications de cette comédie… ; mais M.
De tous vos façonniers on n’est point les esclaves : Il est de faux dévots, ainsi que de faux braves ; Et comme on ne voit point qu’ou l’honneur les conduit, Les vrais braves soient ceux qui font beaucoup de bruit ; Les bons & vrais dévots qu’on doit suivre à la trace, Ne sont pas ceux aussi qui font tant de grimace.