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181. (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76

— Pour arriver à son but, il jette dans une société polie et corrompue, un homme au cœur droit et haut placé, aux allures brusques et franches; un homme qui fait contraste avec tout ce qui l’entoure : Alceste, le misantrope, en un mot.

182. (1871) Molière

Non pas qu’il soit un vieillard, il est jeune encore et pose à peine le pied sur les premières limites de l’âge mûr ; mais il est crédule, et près de lui, presque sous son toit, arrive un jeune homme, un certain Valère aux yeux doux, qui est loin de déplaire à la jeune Isabelle. […] Il a fallu plus de génie et de volonté pour arriver à la représentation de Tartuffe, que pour accomplir le chef-d’œuvre.

183. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Ce qui est obscur, silencieux, intime, ne le touche pas, n’arrive pas même jusqu’à lui. […] Seul, et longtemps après les autres, arrive le poète, alors qu’il n’y avait plus rien, Malheur à moi,  s’écrie-t-il, en se jetant à genoux devant le trône de Jupiter, malheur à moi, qui seul suis oublié, moi le plus fidèle de tes enfants !

184. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38

Enfin arrive cette scene divine, cette scene inimitable, qui mériteroit d’être rapportée ici mot à mot, si nous ne la réservions pour la comparer, quand il en sera temps, avec la scene italienne dont elle est imitée.

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