A mes yeux, exactement ceci : Molière va vous apprendre, si vous ne le savez pas, que l’égoïsme a ses dangers, que le métier de geôlier domestique n’est pas tout rose et que l’ignorance ne vaut pas mieux que n’importe quel autre verrou.
Pour moi, monsieur, je n’ai point étudié comme vous, Dieu merci, et personne ne sauroit se vanter de m’avoir jamais rien appris ; mais avec mon petit sens mon petit jugement, je vois les choses mieux que tous les livres, et je comprends fort bien que ce monde que nous voyons n’est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit.
Après quelques récriminations de Ricciardo, tout s’arrange à l’amiable. » Quoique Riccoboni nous apprenne que ce dénouement fut trouvé plus piquant et mieux amené que celui de L’Interesse et du Dépit amoureux, il ne faut point, à l’exemple de Cailhava, reprocher à Molière de ne s’en être point servi, puisque ce nouveau dénouement ne fut imaginé que bien longtemps après la mort de Molière.
Quand ils ont appris par cœur les vers qu’ils doivent réciter, ils s’occupent de la composition du personnage.