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209. (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47

On rencontre bien des gens aujourd’hui qui aiment encore à vingt-sept ans, et il faut peut-être croire que la moyenne de la vie amoureuse a augmenté en même temps que l’autre.

210. (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38

Le théâtre n’y peut rien, — et quand par exemple un malheureux garçon, amoureux, non pas d’une étoile, mais de son reflet dans le ruisseau, achète un revolver avec son dernier louis pour Unir comme une comédie, je n’attribue cette chose triste ni au Théâtre-Français ni à l’Ambigu-Comique.

211. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240

Il n’est pas vrai que le bien et le mal soient ainsi divinement récompensé et puni sur la terre, ni que tous les amoureux s’épousent, ni que tous les orphelins retrouvent leurs pères, ni que tous les coquins aillent en prison, ni que tous les athées soient foudroyés.

212. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

Il est ennemi de la flatterie... et je suis persuadé que s’il eût été amoureux de quelque dame, qui eût eu quelques légers défauts ou en sa beauté ou en son esprit, ou en son humeur, toute la violence de sa passion n’eût pu l’obliger à trahir ses sentiments. » Si l’on en croit Tallemant des Réaux, Mme de Rambouillet, sa belle-mère, elle-même, aurait fait de Montausier ce portrait peu flatteur : « Il est fou à force d’être sage.

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