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121. (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181

Au rapport de plusieurs écrivains du xviie siècle, le cadre bouffon imaginé par Molière fut rempli en société, chez Mme de la Sablière, dans un dîner où se trouvaient Ninon, Chapelle, Despréaux, La Fontaine et quelques autres convives dignes d’un tel cercle.

122. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370

Il ne s’agit pas de savoir si les conseils pratiques, les préceptes dictés par Aristote, Horace, Boileau, sont légitimes et valent quelque chose.

123. (1884) Tartuffe pp. 2-78

Monsieur le Président est ce Lamoignon que nous vénérons au collège, dans les épîtres de Boileau, et dont le Lutrin chante les louanges… Vertu sincère, universellement respectée ; ce qui rend impossible autant que bien d’autres causes, la prétendue annonce de Molière à l’occasion de Tartuffe : « Monsieur le Président ne veut pas qu’on le joue. […] Il va lui-même chez Lamoignon et Boileau l’accompagne. […] On sait, par exemple, que Boileau n’aimait pas le dénouement nouveau ; il en a confié à Brossette un autre, qu’il préférait et qu’il disait de son crû, paraît-il.

124. (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -

Si l’on faisoit grace au sac ridicule que l’on a si souvent critiqué après Despréaux, on trouveroit dans les fourberies de Scapin, Les fourberies de Scapin, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 24 mai 1671. […] On ne peut mieux finir ces mémoires, que par ces vers de Despréaux. […] II, de Despréaux.

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