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44. (1732) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1732) [graphies originales] « article » pp. 45-46

Après avoir fait ses humanités au college de Clermont à Paris sous les Jesuites, il fut destiné à l’étude du droit, qu’il quitta bientôt, pour suivre le penchant qui l’entraînoit sur le theâtre.

45. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

Il fut donc reçu aux études & aux conversations que Gassendi conduisoit avec les personnes que je viens de nommer. […] Quand Moliere eut achevé ses études, il fut obligé, à cause du grand âge de son pere, d’exercer sa Charge pendant quelque temps ; & même il fit le voyage de Narbonne à la suite de Louis XIII. La Cour ne lui fit pas perdre le goût qu’il avoit pris dès sa jeunesse pour la Comedie ; ses études n’avoient même servi qu’à l’y entretenir. […] La jalousie reveilla dans son ame la tendresse que l’étude y avoit assoupie. […] Les Convives se mirent à table : les commencemens du repas furent froids : c’est l’ordinaire entre gens qui savent ménager le plaisir ; & ces Messieurs excelloient dans cette étude.

46. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302

ARLEQUIN en Procureur, nommé GRAPIGNANT, dans son Etude, dictant à ses Clercs. […] Grapignant, l’empêchant & le repoussant hors de son Etude.

47. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. » pp. 53-56

Emilie, jeune veuve, se livre toute entiere à son goût pour l’étude, ne s’occupe plus que de livres, de conversations sur les sciences, & du soin d’entretenir commerce avec les savants.

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