Vitu dans sa récente étude sur la maison des Pocquelins, étude où il appuie à nouveau sur les clauses du contrat qu’il juge rigoureuses, on devine un peu sous ces précautions, d’ailleurs fort sages, que M. […] Loiseleur dans l’étude qui précède, et auquel M. […] Or, savez-vous quelle est la donnée de sa curieuse étude ? […] On peut consulter sur ce point la savante étude de M. […] Études critiques, p. 189.
À cette époque le bel esprit avait perdu de son importance, la mode avait amené le goût de l’étude et des sciences. Les femmes les plus considérables par l’honnêteté de leurs mœurs, et à qui leur fortune et leur rang laissaient un loisir dont elles ne pouvaient faire un meilleur usage que de s’instruire, s’étaient appliquées à l’étude du grec et du latin, à la métaphysique de Descartes, aux sciences physiques et mathématiques, quelques-unes particulièrement à l’astronomie. […] Ce sont de sottes créatures qui méritent à peine cette leçon : Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie Doit être son étude et sa philosophie. Les Femmes savantes, ai-je dit, sont Les Précieuses ridicules reproduites avec un ridicule de plus, celui de la science supposée par le poète dans une condition qui ne laisse point de loisir pour les études scientifiques, ce qui était absolument contraire à la réalité.
Les français rougiront un jour De leur peu de reconnaissance ; Il leur fallut un comédien Qui mit à les polir sa gloire et son étude ; Mais Molière à ta gloire il ne manquerait rien, Si parmi les défauts que tu peignis si bien, Tu les avais repris de leur ingratitude. […] Ses études terminées au collège de Clermont, il entra dans la Compagnie de Jésus, le 11 septembre 1644.
Les études historiques reçurent dès la fin du dix-huitième siècle une impulsion dont le véritable promoteur est Kant. […] Il y a dans l’Étude du Chevalier une chose que je n’ai pas très bien comprise. […] J’avais commencé une étude sur Molière ; j’essayai de la continuer ; mais je ne pus. […] Leur connaissance, leur étude va nous faire faire un pas de plus dans l’intelligence de son théâtre. […] L’étude du dix-septième siècle, déjà plus intéressante, plus instructive, plus lumineuse que celle de l’esprit français, ne suffit pas.