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155. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Lui, épouser cette fleur de jeunesse et de beauté ! […] » Son sujet, son unique sujet, c’est un quasi-vieillard qui, par peur du cocuage, élève une jeune fille de la façon qu’il croit la plus propre à le préserver de cet accident et veut l’épouser ensuite, sans s’assurer qu’il en est aimé. […] De ce qu’il a épousé une « demoiselle » par ambition et de ce que ce mariage, au lieu des honneurs qu’il en attendait, ne lui a apporté qu’humiliation et gourmades ; c’est, si l’on peut dire, un comique intérieur plutôt qu’extérieur. […] Elle ne craint donc pas, quand le chef de la famille a tourné le dos, de laisser sa fille causer avec l’homme qu’elle a choisi, qu’elle aime, qu’elle épousera un jour, parce qu’elle, Dorine, la vieille nourrice, se l’est mis en tête. […] — Votre fille, dit Toinette à Argan, doit épouser un mari pour elle, et, n’étant pas malade, il n’est pas nécessaire de lui donner un médecin.

156. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341

Vous aimiez ma sœur, & ne songiez point à l’épouser !

157. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144

VIII :   Vous épousiez ma fille et convoitiez ma femme.

158. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

Rousseau : « Quel est le plus criminel, d’un paysan assez fou pour épouser une demoiselle, ou d’une femme qui cherche à déshonorer son époux ?

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