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142. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

On comprend que Boileau, vieux et chagrin, voyant cette décadence, s’écriât : « En vérité, les Pradons, dont nous nous sommes tant moqués, étaient des aigles auprès de ces gens-là. » Il faut être juste cependant : à cette époque où, sous Mmede Maintenon, la cour voyait succéder la dévotion et la tristesse aux fantaisies brillantes d’autrefois, où Louis XIV, frappé dans ses affections les plus chères, après avoir vu mourir autour de lui ses fils et ses petits-fils, restait presque seul de sa famille dans son palais morne et silencieux, il y a encore un coin de la littérature où toute la vie intellectuelle du temps semble s’être réfugiée : c’est la comédie.

143. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

M. de Voltaire a très grande raison de s’écrier à ce sujet : « La licence de l’ancienne comédie grecque n’allait pas plus loin ; il eût été de la bienséance & de l’honnêteté publique de supprimer la satyre de Boursault & celle de Moliere.

144. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105

Délia ajoute que la lettre n’est point partie, n’ayant pu trouver une commodité sure ; elle la remet à Florente, qui la lit, s’écrie : Oh trop aimable Delmire !

145. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250

Le Prévôt & ses archers prennent le valet pour le maître, & s’enfuient : Philippin surpris s’écrie : Où diable ai-je donc pris ce morceau de courage ?

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