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154. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396

Savez-vous mon âge ?

155. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Bien loin de diminuer sa verve, l’âge l’augmenta. […] Nous avons observé à ce sujet, dans une leçon précédente, que Molière, à mesure qu’il avança en âge, eut toujours plus l’espèce de verve qu’exige le comique de la gaîté. […] Le moyen âge n’est pas une antiquité, c’est, comme le nom l’indique, un âge moyen. […] Voici quelques traits du second : Il est vrai qu’elle vit en austère personne; Mais l’âge, dans son âme, a mis ce zèle ardent, Et l’on sait qu’elle est prude, à son corps défendant.

156. (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571

Il lui en coûtait moins de faire quelque anachronisme ou quelque faute de costume : témoin La Princesse d’Élide, sujet des premiers âges de la Grèce, où il introduisit un fou de cour, quoique cette espèce d’office n’eût été créée que dans les temps de la barbarie féodale, dont elle était assurément bien digne.

157. (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923

Les vieux confrères « quand ils se rencontraient se demandaient tout bas, en s’embrassant, des nouvelles... »Mais, avec le temps, ces fervens de l’âge héroïque disparaissaient.

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