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23. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [10, p. 41] »

Elle figure à la seizième place dans l’édition de 1855.

24. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [33, p. 62] »

Figure à la huitième place dans le Moliérana de 1855.

25. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [60, p. 98] »

Cette anecdote figure dans l’édition de 1855, à la douzième place.

26. (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20

Mais hormis quelques figures complètement vouées à la moquerie, telles que la Bélise des Femmes savantes, Mme Pernelle et la comtesse d’Escarbagnas, ne vous semble-t-il pas, Messieurs, que ce n’est qu’à regret qu’il frappe ces chers tourments de notre vie, qu’il faut aimer quoiqu’on en aie, et d’autant plus peut-être que l’on a, comme lui, plus souffert par elles. […] Cette douce figure d’Agnès a plus d’une sœur dans l’œuvre de Molière. […] Indépendamment de ces jeunes figures de femme qui semblent avoir été pour Molière la réalisation de ses rêves les plus chers, il nous en a tracé d’autres ayant un caractère plus marqué, qu’il semble avoir eu encore grand plaisir à peindre.

27. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20

C’est un des hommes rares dont l’inaltérable figure reste debout au milieu des générations qui disparaissent, comme les sommets neigeux qui brillent encore d’un pur éclat quand les hauteurs moindres sont déjà dans l’ombre. […] C’est en cela que le génie est créateur, quand il compose pour plaire quelque figure idéale, conforme à l’humanité, mais différente d’elle pourtant. […] Mais quoiqu’on doive marquer chaque passion dans son plus fort degré et par ses traits les plus vifs pour en mieux montrer l’excès et la difformité, on n’a pas besoin de forcer la nature et d’abandonner le vraisemblable. » Fénelon, Lettre à l’Académie-françoise, VII. — C’est son amour absolu du vrai qui a fait dire à Boileau :   C’est par là que Molière illustrant ses écrits Peut-être de son art eût remporté le prix,   Si, moins ami du peuple, en ses doctes peintures,   Il n’eut point fait souvent grimacer ses figures.

28. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Mercure annonce que Jupiter est avec Alcmene ; qu’il a pris la figure d’Amphitrion pour plaire à la belle ; que lui, Mercure, va prendre celle de Sosie ; que son pere a triplé la nuit pour mieux jouir de sa conquête : enfin il expose toute l’avant-scene, & ne laisse là-dessus rien à desirer au public. […] Lorsqu’il croit avoir bien répété son rôle pour en être sûr, il veut entrer dans l’hôtel d’Amphitrion ; mais Mercure qui garde la porte sous la figure de Sosie, crainte qu’on ne dérange Jupiter, l’empêche d’en approcher, lui dit que lui-même est Sosie valet d’Amphitrion, qu’il a été député par son maître pour annoncer son retour. […] Jupiter annonce tout uniment qu’il vient pour goûter le plaisir d’un racommodement & se réconcilier avec Alcmene sous la figure du mari. […] Ici, de même que chez Plaute, Sosie amene les convives que Jupiter, sous la figure d’Amphitrion, lui a commandé d’aller chercher.

29. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

Lindor s’aimoit beaucoup lui-même, comme de raison ; il savoit qu’il étoit bien fait & d’une figure charmante : il le disoit quelquefois ; mais il rioit de si bon cœur après l’avoir dit, il montroit en riant une bouche si fraîche & des dents si belles, qu’on pardonnoit ces naïvetés à son âge. […] A présent que je n’ai pour moi que mon âge & ma figure, vous me traitez comme un enfant ; mais quand vous aurez entendu dire : Il s’est trouvé à telle affaire, son Régiment a donné dans telle occasion, il s’est distingué, il a pris un poste, il a couru mille dangers : c’est alors que votre petit cœur palpitera de crainte, de plaisir, peut-être d’amour ; que sait-on ? […] Si vous vous rappellez le Marquis de Lisban, c’étoit une de ces figures froidement belles, qui vous disent, Me voilà ; c’étoit une de ces vanités gauches, qui manquent sans cesse leur coup. […] Il faut qu’une femme soit ou bien modeste, ou bien vaine, pour avoir une suivante de ta figure & de ton visage !

30. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [30, p. 59] »

Dans l’édition de 1855, cette anecdote figure à la vingt-cinq place.

31. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [32, p. 61-62] »

Cette anecdote figure à la vingt-sixième place dans l’édition de 1855.

32. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [97, p. 141] »

Elle figure à la quarante septième place dans l’édition de 1855.

33. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [38, p. 68-69] »

Cette anecdote figure à la vingt-septième place dans l’édition de 1855.

34. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [35, p. 64] »

Cette anecdote figure dans l’édition de 1855, à la neuvième place.

35. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [25, p. 52-53] »

Elle figure à la vingt-troisième place dans l’édition de 1855 du Moliérana.

36. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [54, p. 88] »

Elle figure à la quarante-deuxième place dans l’édition de 1855.

37. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [57, p. 94] »

1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 394-395 Boileau a beaucoup loué Molière, et vivant et mort ; mais dans l’Art Poétique, où il paraît plus particulièrement le juger, il dit que Molière : Peut-être de son art eut remporté le prix, Si moins ami du peuple, en ses doctes peintures, Il n’eut point fait souvent grimacer ses figures ; Quitté pour le bouffon, l’agréable et le fin, Et sans honte à Térence* allié Tabarin.

38. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [63, p. 100-101] »

Cette anecdote figure à la trente-une place dans l’édition de 1855.

39. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [7, p. 38] »

Cette anecdote figure, dans l’édition de 1855, à la quatorzième place.

40. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [22, p. 50-51] »

Elle figure dans l’édition de 1855, à la cinquième place.

41. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [24, p. 52] »

Cette anecdote figure dans l’édition de 1855 à la vingt-deuxième place.

42. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [49, p. 81-82] »

Vers qui figure dans le Chant premier du recueil de Boileau intitulé le Lutrin.

43. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [3, p. 35] »

Cette anecdote figure à la trente cinq place dans l’édition de 1855.

44. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [28, p. 53-54] »

Cette anecdote figure à la vingt-quatrième place dans l’édition de 1855.

45. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [85, p. 129-130] »

Ce personnage ne figure pas dans la liste des acteurs.

46. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [37, p. 67-68] »

Dans l’édition de 1855, cette anecdote figure à la trente neuvième place.

47. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [45, p. 77-78] »

Cette anecdote figure à la trentième position dans l’édition de 1855.

48. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [94, p. 138-139] »

Ce vers figure à l’Acte III, scène 5, vers 1096.

49. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [9, p. 41] »

Cette anecdote figure à la quinzième place dans le Moliérana de 1855.

50. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [72, p. 106-108] »

Cette anecdote figure dans l’édition de 1855 du Moliérana, à la treizième place.

51. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [59, p. 96-98] »

Figure dans le Moliérana de 1855 sans la note de bas de page.

52. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [93, p. 136-138] »

Ce n’est pas qu’il ne plaisante quelque fois agréablement dans les rôles de Sganarelle et de monsieur Dimanche ; mais le tout ensemble n’était pas digne de passer sous la plume de notre auteur, et l’on ne peut qu’applaudir au mot ingénieux de cette femme qui dit à Molière, votre figure de D.

53. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

C’était un homme de qualité, un homme d’esprit, de belle figure, un homme de cour, mais non un de ces courtisans de profession, qui bornant leur ambition à obtenir une parole ou un regard du prince, se pâmaient de joie en s’entendant nommer pour un voyage de Mari y ou Ce Fontainebleau. […] Quand elle considérait un objet, elle en voyait le fort et le faible, et l’exprimait en des termes vils et concis, comme les habiles dessinateurs, qui, en trois ou quatre coups de crayon, ont voir toute la perfection d’une figure. » (Mém. de litt., t. 

54. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Son éloge a passé par l’Académie, et la rhétorique n’a plus de figures pour le célébrer ; d’autre part, les eaux de la mince fontaine que la ville de Paris lui a consacrée ne suffiront jamais à laver toutes les injures qu’on a déposées au pied de sa statue. […] Aussi ne rencontre-t-on nulle part dans ses œuvres la figure d’un homme vertueux. […] Je me la représente volontiers comme une fille de dix-neuf à vingt ans, plutôt petite que grande, plus grasse que maigre, d’une figure ordinaire, qui ne plaît qu’à une vue attentive, mais dont l’effet plus lent est aussi plus durable. […] Avec quelle malicieuse bonhomie elle répond à Bélise qui lui reproche de faire une étrange figure pendant la lecture de Trissotin : Chacun fait ici-bas la figure qu’il peut, Ma tante ; et, bel esprit, il ne l’est pas qui veut.

55. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393

Madame de Montespan, qui avait satisfait longtemps à ses deux besoins, n’y suffisait plus ; plus de jeunesse dans sa figure, ni dans sa taille : son esprit même avait vieilli : plus de ces saillies qui étonnent, qui égalent, qui font étincelle au milieu d’une cour. […] Qu’on se figure, dans la position de madame de Maintenon, une femme d’un autre caractère : elle mettra en jeu tout ce que l’art de la galanterie aura de plus raffiné, d’abord pour nuire à sa rivale, ensuite pour plaire toujours plus qu’elle-même : elle disputera sa possession autant qu’il faudra pour en exalter le désir jusqu’à la passion.

56. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144

Qui n’aura plaisir à rechercher, dans tant de figures charmantes, le type de l’amour tel que l’entendait Molière ? […] Ses amoureux sont autant d’heureux exemples du cœur humain suivant naturellement un de ses plus précieux penchants ; et, de tous ces tableaux vivants, ressort doucement la figure de l’amour vrai, naturel, partant moral. […] Dieux, princes, bergers, bourgeois, gentilshommes, valets, on en trouve partout sans qu’on songe jamais à s’en plaindre : Célie, Hippolyte, Lucile, Elvire, Isabelle, Agnès, Lucinde, Eliante, Mariane, Elise, Julie, Eriphile, Psyché, Zerbinette, Hyacinthe, Henriette, Angélique, je vous aime, avec vos Lélies, vos Léandres, vos Erastes, vos Valères, vos Horaces, vos Orontes, vos Sostrates, vos Cléontes, vos Octaves, vos Cléantes, et vos Clitandres, doux noms et charmants souvenirs, aimables figures qui venez, au milieu des farces les plus risibles ou des peintures de caractère les plus hardies, apporter la grâce riante de vos jeunes amours !

57. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [43, p. 73-77] »

Cette anecdote figure dans l’édition de 1855 du Moliérana, à la dixième place.

58. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

J’ai remarqué il y a trois ou quatre ans sur le Misanthrope que le langage familier admettait de nos jours bien moins de figures que sous Louis XIV. […] Ici la figure que Molière prend pour faire son vers, est une absurdité. […] Excellente figure de Géronte qui peu à peu comprend la mystification. […] On rit de la figure de Dandin. […] Évidemment Stendhal a remplacé ici par une figure le mot sots.

59. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475

Le lecteur aimerait à trouver ici de nouvelles notions sur la figure et la taille de cette femme de quarante-cinq ans, dont la résistance affligeait le roi le plus galant du monde, et plus jeune qu’elle de trois ans. […] Mais ayant pris depuis deux ans beaucoup d’embonpoint, sans rien perdre de la noblesse de sa taille, elle était plus belle qu’on ne l’avait jamais vue à la cour ; sa figure étonnait par son éclat et sa majesté ; elle n’avait jamais mis de rouge, et le teint d’aucune jeune personne n’effaçait la pureté du sien. » Madame de Genlis se plaît à décrire ailleurs les charmes physiques de madame de Maintenon ; mais elle la place dans une situation romantique : elle venait de se dépouiller de sa mante et de son écharpe pour en revêtir une personne qui manquait d’habits. […] Le roi vit pour la première fois une taille parfaite, les plus beaux bras et le plus beau cou du monde… La vive rougeur de madame de Maintenon rendait en cet instant sa figure éblouissante ».

60. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

II Parlons d’abord d’Alceste, la principale figure de cette grande composition. […] Sous la figure de Clitandre et d’Acaste reparaissent de Guiche et de Lauzun, dont les frivoles amours portèrent un coup si cruel au cœur de Molière. […] « Dans un temps où les tartufes étaient puissants, les prudes devaient abonder : il y a bien près de l’hypocrite en religion à l’hypocrite en vertu 32. » Éliante, cette figure sympathique, qui se détache si délicieusement des physionomies de la coquette et de la prude, est un hommage rendu à la vertu simple et douce, que n’a pas atteinte la contagion d’une société pervertie.

61. (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)

Est-ce par ses allusions probables à telle ou telle figure contemporaine ? […] Or, une des raisons les plus certaines de la popularité de Molière, c’est l’intensité de vie qui anime ces figures extérieurement abstraites.

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