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16. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

Il n’est guère de cœur de femme qui ne comprenne cette passion une et multiple, une, par l’objet auquel elle s’attache, multiple, par les diverses raisons de son attachement. […] Elle s’avoua, se déclara attachée aux principes de la morale religieuse plutôt que pieuse, et surtout et le ne se fil point dévote. […] Se montrer pieuse et attachée à ses devoirs de religion n’était point un calcul d’ambition, la une hypocrisie.

17. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311

Tel est notre siecle, il s’attache à l’écorce, il ne voit que l’écorce, il n’aime que l’écorce, il y attache la plus grande importance ; il s’ensuit de là malheureusement qu’il n’offre aussi que des superficies à qui veut le peindre.

18. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [92, p. 135-136] »

[92, p. 135-136] Molière attachait peu d’importance au Médecin malgré lui.

19. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318

Il semble à trois gredins dans leur petit cerveau, Que pour être imprimés et reliés en veau, Les voilà dans l’état d’importantes personnes, Qu’avec leur plume ils font le destin des couronnes, Que sur eux l’univers a la vue attachée. […] Il est fort probable que les directions primitives de l’esprit du poète ont été tournées contre la haute société et contre les hommes de lettres qui s’y étaient attachés ; que les atteindre a été son but secret.

20. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [72, p. 106-108] »

LICOU, LICOL : Une têtière montée d’une longe de cuir pour attacher les chevaux, mulets, ou autres bêtes au râtelier, quand on les a débridées.

21. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250

L’intérêt attaché à madame de Montausier, dernier reste de la maison de Rambouillet, nous a fait anticiper d’une année sur la période de 1670 à 1680, il nous a fait assister à sa mort, arrivée le 13 avril 1671 ; à sa mort, grand événement dans l’histoire des mœurs du xviie  siècle. […] Madame de La Sablière s’attacha de toute son âme au marquis de La Fare, qui ne devint pas moins amoureux d’elle.

22. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [8, p. 39-40] »

Rose, Toussaint (Provins, 1615 – Paris, 1701) : d’abord secrétaire particulier de Mazarin, puis attaché par celui-ci, au même titre, au cabinet du roi et président à la Chambre des comptes.

23. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

La reconnaissance et  l’enchantement populaires ont attaché à cette brillante époque le nom du prince qui était le centre et le principal ressort de ce noble mouvement des cœurs et des intelligences : Voltaire a prouvé que ce n’était pas sans raison. […] Il est triste d’avoir à défendre Molière ; mais pourquoi a-t-on voulu, pourquoi veut-on encore attacher un stigmate d’infamie au front de ce grand poète ? […] Jamais contre un pécheur ils n’ont d’acharnement ; Ils attachent leur haine au péché seulement, Et ne veulent point prendre avec un zèle extrême Les intérêts du ciel plus qu’il ne fait lui-même.

24. (1769) Éloge de Molière pp. 1-35

Les Médecins, également attachés à leurs robes, à leur latin et aux principes d’Aristote, méritaient presque tous l’éloge que M.  […] Né en 1620 d’une famille attachée au service domestique du Roi, l’état de ses parents lui assurait une fortune aisée. […] Et comment un homme que la considération attachée aux succès vient de chercher dans le sein de la paresse, ne serait-il pas tenté d’en profiter ?

25. (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914

Elmire, dans la pensée de Molière, est le type de la femme vertueuse et modeste, vertueuse sans fracas, sans forfanterie, attachée à ses devoirs par conviction plus encore que par obéissance. […] Quand il abandonne Armande pour se tourner du côté d’Henriette, il s’attache avec une singulière obstination à peindre la passion qu’il ne ressent plus. […] Ils attachent en général plus d’importance aux effets de détail qu’aux effets d’ensemble.

26. (1818) Épître à Molière pp. 6-18

au génie appartient la victoire ; Jamais de plus d’éclat n’avait brillé sa gloire ; Et l’envie à ses pas veut en vain s’attacher, C’est l’onde qui mugit en frappant le rocher. […] insensible au branle de ta roue, Le mérite naissant, loin du monde caché, Fier d’être utile un jour, à l’étude attaché, Mûrit dans le travail et sa jeune éloquence, Et son besoin de gloire, et son indépendance : Protégé par lui seul il se doit ses progrès, Et sans remords, au moins, jouit de ses succès.

27. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [74, p. 108-114] »

[74, p. 108-114] 1705, Grimarest, p. 126-130 Un jeune homme de vingt-deux ans, d’une belle figure et bien fait, vint un jour trouver Molière ; après les compliments ordinaires, il lui découvrit qu’étant né avec toutes les dispositions nécessaires pour le théâtre, il n’avait point d’autre passion plus forte que de s’y attacher ; qu’il venait le prier de lui en procurer les moyens, et lui faire connaître que ce qu’il avançait était véritable.

28. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

En cherchant bien autour de certains fils de famille qui se sont ruinés galamment, et qui vivent sur le bien des autres, toujours courant derrière une maîtresse ou devant un créancier, vous trouveriez quelque Mascarille, vicieux comme son maître et par la faute du maître, larron pour vivre, et toutefois attaché, non par dévouement, mais parce qu’il n’y a pas deux hommes plus près d’être des égaux qu’un libertin ruiné et son valet. […] Chacun porte la peine ou reçoit le prix de son caractère ; mais la peine n’est pas tragique, ni la récompense romanesque ; tout est imité de la vie, où le bonheur qu’on tire du bien penser et du bien faire est médiocre, et où le châtiment attaché aux travers n’est jamais assez dur pour nous en corriger. […] Les galants emportent l’attache de ridicule que Célimène leur a mise au dos. […] Fille respectueuse et attachée à ses parents, elle n’est pas dupe de leurs défauts ; et quand il y va de son bonheur, elle sait le défendre d’une main douce, mais ferme. […] « Un sérieux attrait attachait Desdémone à tous ces récits ; et quand les soins de la maison l’appelaient au dehors, elle faisait toute la hâte qu’elle pouvait, et revenait, l’oreille avide, dévorer mes discours. » 6.

29. (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466

Ils ont laissé de certains ouvrages qui ne se sont pas perpétués sur la scène de la même façon que leurs chefs-d’œuvre, et qui ne sont pas devenus, comme ceux-ci, des textes quotidiens pour les écoliers ; la raison de la réserve où sont demeurés ces ouvrages, c’est apparemment qu’ils étaient moins beaux et attachés plus proprement à une époque ; n’importe : c’est eux qu’on va retirer de l’ombre pour célébrer leurs auteurs. […] Les Fâcheux ne sont rien qu’une série de silhouettes qu’on fait défiler dans une fête pour divertir les invités : l’auteur, pour « lier ensemble » ces bonshommes, avertit qu’il s’est « servi du premier nœud qu’il a pu trouver ; » il les a, de la façon la plus simple, attachés en chapelet pour les égrener.

30. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58

Isabelle peut être citée comme un exemple de la considération et des honneurs qui s’attachaient fréquemment en Italie à la profession du comédien. […] De ce livre imprimé du temps de Henri IV, j’ai pris le dessin de l’habit d’Arlequin. » Ce costume, comme on le voit, est bien différent de celui qu’Arlequin adopta par la suite : il porte ici une jaquette ouverte par devant et attachée par de mauvais rubans ; un pantalon étroit, collant, couvert de morceaux d’étoffes placés au hasard, et sans doute de diverses couleurs.

31. (1696) Molière (Les Hommes illustres) « JEAN-BAPTISTE POQUELIN. DE MOLIERE. » pp. 79-80

Il s’attacha à jeter du ridicule sur ces deux vices, ce qui a eu un effet beaucoup au-delà de tout ce qu’on pouvait en espérer.

32. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

« C’est à quoi, poursuit-il, on s’attache furieusement depuis un temps ; et jamais on ne s’était si fort déchaîné contre le théâtre !  […] Il paraissait attaché d’esprit à ce qu’on lui disait, comme aux affaires importantes ; il en causait avec ses familiers et ne dissimulait point les impressions qu’il en avait gardées. […] Tartuffe et demi, si la popularité lui vient et si l’on voit que l’estime publique s’attache à lui ! […] nos gens de bien qui « n’attachent leur haine qu’au péché seulement, » savent alors montrer qu’ils peuvent haïr quelque autre chose que le péché ! […] Je tiens pour bonne et chrétienne la maxime que nous devons « attacher notre haine au péché seulement ».

33. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292

) Arlequin arrive avec son âne pour faire du bois ; il quitte son habit de paysan, le met sur un tronc, attache l’âne à un arbre et le charge de bien garder ses effets. […] « L’inimitable Monsieur Dominique, dit son successeur Gherardi, a porté si loin l’excellence du naïf du caractère d’Arlequin, que les Italiens appellent goffagine, que quiconque l’a vu jouer trouvera toujours quelque chose à redire aux plus fameux Arlequins de son temps. » L’inimitable, c’est l’épithète attachée à son nom : « Qui ramènera, dit Palaprat dans la préface de ses œuvres, qui ramènera les merveilles de l’inimitable Domenico, les charmes de la nature jouant elle-même à visage découvert sous le visage de Scaramouche ? 

34. (1821) Scène ajoutée au Boulevard Bonne-Nouvelle, pour l’anniversaire de la naissance de Molière pp. -

… Cet diable de Molière il m’ennuie beaucoup… et je vois aujourd’hui sur toutes les… toutes les… Comment appelez-vous ces papiers attachés contre les murs ?

35. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55

Ces mœurs étaient antipathiques avec celles des familles de Vivonne et d’Angennes, et leur contraste accroissait la considération qui s’attachait à l’hôtel de Rambouillet.

36. (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67

La noblesse et le choix des termes, et des expressions, la netteté, la concision, sont des principes que je tâche de ne point perdre de vue, comme les moyens les plus assurés d’attacher le Lecteur. […] » J’ai représenté Molière dans son beau, comme dans son mauvais ; mais j’ai jugé à propos de faire paraître ses situations et ses sentiments, par ses actions, pour attacher d’avantage ceux qui lisent. […] Et je ne sais pas où mon Censeur a vu établi en règle, qu’il soit défendu de mettre de l’action, et du caractère dans un Livre ; c’est le plus sûr moyen de plaire, et d’attacher à la lecture.

37. (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]

Le Prince de Conti*, devant lequel on la représenta, admira les talents de l’Auteur, et voulut se l’attacher en qualité de Secrétaire ; mais heureusement pour la gloire du Théâtre Français Molière préféra de suivre l’impulsion de son génie. […] Cependant c’était ce même Chapelle* qui donnait le ton à tous les beaux-esprits, comme à tous les ivrognes du Marais ; on prenait son attache pour débiter dans le beau monde des vers prétendus anacréontiques, où régnaient, disait-on, le plus beau naturel et les plus heureuses négligences. […] Racine proposa le sujet d’Orphée, Quinault* l’Enlèvement de Prosperpine, et Molière, aidé du grand Corneille, s’attacha au sujet de Psyché, qui obtint la préférence. […] Auguste chercha en vain à se l’attacher comme secrétaire. […] Il s’attacha à la fortune du duc de Guise et participa avec une exceptionnelle valeur à l’aventureuse expédition de Naples.

38. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338

Attachez-vous aux procès par écrit et multipliez si adroitement les incidents et la procédure qu’une affaire blanchisse dans votre étude avant que d’être jugée. […] Mon fils, attache-toi aux saisies réelles, aux préférences de deniers.

39. (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366

À la vérité, on trouve dans Horace cette peinture d’un faux dévot de l’ancienne Rome : « Cet homme vertueux sur qui tous les yeux sont attachés, soit dans les places publiques, soit dans les tribunaux, toutes les fois qu’il apaise les dieux par le sacrifice d’un porc ou d’un bœuf, ne manque pas d’élever la voix en invoquant Apollon ou Janus ; puis, marmottant tout bas en homme qui craint d’être entendu : Belle Laverne, dit-il, accordez-moi la grâce de duper tous les yeux, de passer pour un homme juste, irréprochable ; enveloppez mes fraudes d’une nuit profonde, couvrez mes fourberies d’un nuage favorable. » À ces traits, il est difficile de méconnaître l’hypocrisie religieuse, l’hypocrisie de dévotion. […] Molière est, sans contredit, de tous nos poètes comiques celui qui a le plus souvent et le plus gaiement tiré parti de l’espèce de ridicule attachée à certaine disgrâce qui menace les maris, et que désignait de son temps une expression naïve repoussée par la délicatesse actuelle du langage. […] Les deux Alcmènes sont vertueuses et attachées à leurs maris ; mais l’Alcmène française est plus passionnée dans sa tendresse et plus animée dans ses ressentiments.

40. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

« Il s’attache aveuglément », dit Diafoirus père en parlant de son fils, « aux opinions de nos anciens. […] Il laissera sa fille Élise exposée aux entreprises de Valère. — Monsieur Jourdain, en proie à la folie des grandeurs, délaisserait sa femme et donnerait sa fille au grand Turc, sans y attacher d’autre importance. — Un amoureux au désespoir, une fille cloîtrée, une autre déshéritée, deux frères brouillés, une intrigante maîtresse du logis ! […] Et c’est cette foi merveilleuse en l’action, subsistant en dépit de toutes les misères physiques et morales attachées à notre nature, en dehors de tout espoir, de toute crainte d’un caractère métaphysique — et cela dans le même temps où le christianisme janséniste abêtissait Pascal.

41. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

Ses malheurs continuent en quelque sorte après sa mon, et lorsque les persécutions ne peuvent plus s’attacher à l’homme, elles s’attachent à sa statue. […] De province en province il entraîne joyeuse La troupe qu’il attache à sa jeunesse heureuse ; Pour des cœurs de vingt ans quel plus riant destin ?

42. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401

« Il n’y a plus que la crainte », écrivait-elle le 7 octobre, « qui attache à Quanto. »Sous-entendez la crainte des éclats de la jalousie de cette femme altière.

43. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

C’est là l’unique étude où je veux m’attacher. […] La société du duc de Nevers, à laquelle elle s’était attachée, était plus près de la licence que de la préciosité.

44. (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221

c’en est trop, lui dit Christine, votre cruauté me détache de tous les liens qui m’attachaient à vous. […] Ils ressemblent assez à ces énigmes dont on est intrigué un moment, et qui cessent de vous attacher dès que le mot vous en est connu. […] Par malheur, la vertu est une conquête plus difficile, et Philinte, dans l’appréciation qu’il en fait au cinquième acte, s’attache à montrer combien elle exige de nous de patience, de douceur et de résignation. […] Il s’attacha surtout à en rendre l’énergique passion, et de tous les acteurs que j’ai pu voir, c’est, sans contredit, celui qui le composait le mieux, bien que sous le rapport de la passion il laissât encore beaucoup à désirer. […] On pourra trouver que ces observations et les changements que je propose, portant moins sur le fond que sur les détails du rôle, ne sont que des nuances légères auxquelles il ne faut pas attacher grande importance.

45. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222

Arlequin arrive avec son âne, pour faire du bois ; il quitte son habit de paysan, le met sur un tronc, attache l’âne à un arbre, & le charge de bien garder ses effets.

46. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37

On devait se plaire à la peinture d’amours dégagés d’un érotisme grossier, accueillir même l’exagération des plaisirs attachés à des communications purement intellectuelles et morales.

47. (1843) Épître à Molière, qui a obtenu, au jugement de l’Académie française, une médaille d’or, dans le concours de la poésie de 1843 pp. 4-15

Habiles à parler et la prose et les vers, Quoique sœurs, elles ont des visages divers : L’une a l’air plus pensif sans être sérieuse ; Égayant les salons de son humeur rieuse, Sur les amis de cour, le fat et le pédant Elle aime à décocher le sarcasme mordant, Attache un misanthrope au char d’une coquette.

48. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171

Nous avons déja dit que cette piece étoit une des plus médiocres de l’Auteur ; cependant elle attache.

49. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Des différents Genres en général. » pp. 1-8

La tournure de votre esprit ou quelque dépit amoureux vous attache-t-il sur les pas de la plaintive élegie ?

50. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385

Il est cruel, belle Julie, que ma feinte tendresse pour Madame d’Escarbagnas dérobe à mon amour un temps qu’il voudroit employer à vous expliquer son ardeur ; & cette nuit j’ai fait là-dessus quelques vers que je ne puis m’empêcher de vous réciter sans que vous me le demandiez, tant la démangeaison de lire ses ouvrages est un vice attaché à la qualité de poëte.

51. (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -

J’eus donc à m’occuper des questions de sources et d’origine, et je m’attachai notamment, en usant des documents assemblés par mes devanciers et en tâchant d’y ajouter ma quote-part, à constater et à faire ressortir les relations très nombreuses qui existent entre l’ancienne comédie italienne et le théâtre de Molière.

52. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249

Moi, pourvu que je puisse être au petit couché, Je n’ai point d’autre affaire où je sois attaché. […] Oui, c’est à vous de voir si, par des nœuds si doux, Madame, vous voulez m’attacher tout à vous.

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