Aurelia rentre chez elle, Valerio prend la fuite ; le Docteur et Pantalon, accourus, s’affligent du malheur arrivé à Ottavio, Le Docteur prie Pantalon de faire courir après l’adversaire. […] Le Docteur fait emporter son fils et le suit ; Pantalon rentre chez lui pour questionner sa fille. […] ) Le Docteur dit à Pantalon que la blessure d’Ottavio est très légère ; ils s’en réjouissent. […] ) Le Docteur et Pantalon, assis devant un bureau, décident qu’il faut obliger Valerio à s’unir avec Aurelia. […] « Je suis un pauvre homme, répond Arlequin, je n’ai pas moyen d’en avoir davantage. » Isabelle vient pour voir le Docteur, et, ne le trouvant pas, elle le veut attendre.
Le Docteur devine, dit-il, la cause de la maladie de Lucinde. […] L’Apothicaire est sourd ; il n’entend pas d’abord la réponse du Docteur : ensuite il dit à part qu’un Médecin assez ignorant pour ne pas savoir écrire ses ordonnances, ne doit pas en effet s’intéresser aux grandes nouvelles. […] Une telle ordonnance ne satisfait pas l’Apothicaire, sur-tout quand le Docteur lui défend de mettre la bouteille d’eau sur son mémoire. […] Le Docteur, seul, réfléchit sur les coups d’œil que lui lance sa malade. […] Rosaura, impatientée, se retire, en disant tout bas à son Docteur, que, s’ils pouvoient s’entendre, ils seroient bien tous deux.
Le fils du docteur faisait les seconds amoureux sous le nom de Virginio. […] Dans la cinquième entrée, « onze docteurs reçoivent un docteur en ânerie, qui, pour mériter cet honneur, soutient des thèses dédiées à Scaramouche ». […] Les onze docteurs assistants se nomment Du Moustier, Lambert, Geoffroy, La Barre l’aîné, Donc, Grenerin, Des Airs le cadet, Vagnac, Laleu, Bonnard, Brouard. […] Ce que le livret traduit ainsi : LES DOCTEURS. […] Aux plus savants docteurs je sais faire la loi, Ma grimace vaut mieux que tout leur préambule ; Scaramouche, en effet, n’est pas si ridicule Ni si Scaramouche que moi.
Sganarelle veut recevoir Géronte au nombre des Docteurs, & lui donne des coups de bâton. […] Géronte veut faire pendre le docteur, qui gémit sur son malheur. […] Arlequin y consent, prend tout l’attirail d’un Docteur, entre chez Pantalon, suivi d’Octave qu’il dit être son éleve, & promet de guérir Eularia. […] Le valet de Cléon se présente sous l’habit d’un Docteur : il demande à voir l’urine de la malade, la boit, en demande encore, & fait une scene fort dégoûtante.
Isabelle, femme du Capitan, est amoureuse de Léandre, jeune écolier, qui loge dans le voisinage sous la conduite du Docteur. […] Isabelle prie le Docteur de mettre ordre aux insolences de son écolier, qui vient, dit-elle, continuellement sous ses fenêtres lui parler d’amour. Réprimande très vive du Docteur à Léandre, qui avoue avoir eu la témérité de regarder plusieurs femmes, prie humblement son Précepteur de lui montrer la maison de celle qui s’en est offensée, & vole vers Isabelle qui est à sa fenêtre. […] Elle dit au Docteur que son Eleve a eu l’audace de passer un billet par la fente de sa porte, & d’y laisser tomber une bourse de cent louis qu’elle remet au Docteur pour rendre à Léandre. […] Enfin Isabelle signifie au Docteur ses dernieres intentions.
Gélio, fils de Pantalon, & promis à la fille du Docteur, est amoureux de Turqueta. […] Le Docteur, beau-pere prétendu de Gélio, demande des nouvelles de son gendre & de son pere Pantalon. […] Le Docteur fait le marché. […] Le Docteur, instruit de l’artifice de Scapin, lui en fait des reproches : celui-ci lui persuade que tout ce qu’il a fait n’étoit que pour lui rendre service. […] Alors le Docteur, donnant dans un nouveau piege, prie Scapin d’acheter lui-même Turqueta, & lui remet l’argent.
Molière avait encore composé, pour la Province et pour Paris, plusieurs petites Farces, comme le Docteur amoureux, le Docteur pédant, les Trois Docteurs Rivaux, le Maître d’École, le Médecin volant, la Jalousie de Barbouillé, la Jalousie du Gros-René, Gorgibus dans le sac, le Fagoteur, le Grand benêt de Fils, Gros-René petit enfant, etc, qui n’ont pas été imprimées. […] Il va consulter le Docteur sur les moyens de la mettre à la raison. […] Entre autres choses, la femme lui dit qu’il est un âne, et qu’elle est aussi Docteur que lui : et le Docteur répond : Toi docteur ? Vraiment je crois que tu es un plaisant Docteur. […] Molière avait encore composé, pour la Province et pour Paris, plusieurs petites Farces, comme le Docteur amoureux, le Docteur pédant, les Trois Docteurs Rivaux, le Maître d’École, le Médecin volant, la Jalousie de Barbouillé, la Jalousie du Gros-René, Gorgibus dans le sac, le Fagoteur, le Grand benêt de Fils, Gros-René petit enfant, etc, qui n’ont pas été imprimées.
Enfin, il lui envoya le maître chez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses études, espérant que par l’autorité que son maître avait eue sur lui pendant ce temps là, il pourrait le ramener à son devoir ; mais bien loin que ce bonhomme lui persuadât de quitter sa profession, le jeune Molière lui persuada de l’embrasser lui-même, et d’être le docteur de la comédie ; lui ayant représenté que le peu de latin qu’il savait le rendrait capable d’en bien faire le personnage, et que la vie qu’ils mèneraient serait bien plus agréable que celle d’un homme qui tient des pensionnaires. […] Ce bon Père lui envoya ensuite le Maître chez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses Études, espérant que par l’autorité que ce Maître avait eue sur lui pendant ces temps-là, il pourrait le ramener à son devoir ; mais bien loin que le Maître lui persuadât de quitter la profession de Comédien, le jeune Molière lui persuada d’embrasser le même Profession, et d’être le Docteur de leur Comédie, lui ayant représenté que le peu de Latin qu’il savait le rendrait capable d’en bien faire le Personnage, et que la vie qu’ils mèneraient, serait bien plus agréable que celle d’un Homme qui tient des Pensionnaires.
Et n’y a-t-il pas, dans l’esprit faussé par le pédantisme et l’orgueil, de certaines erreurs qui vont à la folie, et qu’on ne peut réfuter mieux que par des farces folles, comme celle du Docteur aristotélicien, auquel il faut parler à coups de pierre, et du Docteur pyrrhonien qui ne croit qu’aux coups de bâton197 ? […] La cruelle, horrible exactitude de la satire contre les docteurs qui causent de leurs petites affaires pendant que le malade agonise201 ; contre ceux qui laissent mourir le malade pour régler entre eux une querelle de préséance202 ; contre ceux qui, après avoir saigné quinze fois 203 l’infortuné sujet de leur expérience ou plutôt de leur ignorance, déclarent que, s’il ne guérit point, c’est signe que la maladie n’est pas dans le sang, et qu’ils vont le purger autant de fois pour voir si elle n’est pas dans les humeurs204 : toutes ces scènes là, et bien d’autres, qu’elles sont poignantes, mais quelles sont vraies205 ! […] II, VI le Docteur ; le Mariage forcé (1664), sc. […] Le plus âgé des docteurs était à son chevet, et après un examen attentif inclinait déjà avec l’un de ses collègues à épargner au malade une nouvelle émission de sang ; mais je ne sais quel autre docteur, se promenant à grands pas dans la chambre, soutint obstinément le contraire, et ramena à son opinion ses collègues déjà presque décidés.
Il Dottore bachettone, ou le Docteur bigot. Pantalon est obligé de faire un paiement : il n’a point d’argent ; il fait part de son embarras au Docteur dévot & grand usurier. […] Pour moi, je trouve que la barbe d’Aristote & la ceinture de Vulcain figurent assez bien dans une liste présentée par un Docteur usurier, & charlatan par conséquent. […] Son fils Célio l’aime aussi ; il obtient la préférence : la belle se trouve ensuite fille du Docteur. […] Quand le Docteur la reconnoît pour sa fille, il faut qu’Arlequin rassure ce pere sur la conduite de sa fille, & que le pere croie de bonne foi un répondant si suspect.
Ces farces, au nombre de cinq, sont : Le Docteur amoureux, Les trois Docteurs rivaux, Le Maître d’école, Le Médecin volant, et La Jalousie du Barbouillé.
Poquelin qui prit alors le nom de Moliere faisait de petites comédies pour les provinces, Le docteur amoureux, Les trois docteurs rivaux, Le maître d’école, et quelques autres qui n’ont point été imprimées.
La comédie de l’Étourdi est la première des pièces imprimées et connues de Molière ; mais auparavant il avait fait quelques farces, telles que Le Docteur amoureux, Les trois Docteurs rivaux, le Maître d’Éole, dont il ne reste que le titre ; Le Médecin volant et La jalousie de Barbouillé, que quelques curieux ont conservé, et dont Molière a employé quelques traits dans d’autres pièces.
Il se retire à Milan auprès de Mario, qui lui découvre l’état de son cœur, & lui apprend qu’il souffre en ce moment tous les maux que l’absence d’un objet adoré & l’attente d’un bonheur prochain peuvent faire éprouver à un amant passionné : il n’attend que le retour de cette personne chérie, que le Docteur son pere a demandée & obtenue : elle arrive enfin, & Mario la présente à Lélio. […] Tandis que Lélio se trouve dans cette déplorable situation, Silvia, fille du Docteur & sœur de Mario, devient amoureuse de l’ami de son frere, quoiqu’elle soit promise au Comte Octavio, cavalier de grande considération. […] Dans cette pensée, Mario engage Pantalon & Flaminia à se joindre à lui pour obtenir du Docteur son pere une grace qu’il vient lui demander pour son ami Lélio ; en effet le Docteur s’y détermine à leur sollicitation.
Célio, marié secrètement à Rosaura, fille du Docteur, est caché avec son valet Arlequin dans un cabinet que la jeune épouse a fait pratiquer dans l’épaisseur de la muraille. Pendant ce temps-là le Docteur cede sa maison à Pantalon, qui fait porter tous ses effets dans son nouveau logement, entre autres choses une corbeille de mariage, dont son gendre futur a fait présent à Léonora sa fille.
Il dit qu’il a fait une comédie intitulée le Docteur ignorant. Le Docteur offensé lui répond qu’il a fait aussi une piece qui a pour titre le Poëte extravagant (il Poeta matto). […] Il dit fort innocemment qu’Arlequin donne des coups de bâton au Docteur. Le Docteur, offensé derechef, dit que si le Poëte jouoit le rôle du Docteur, le lazzi seroit excellent (se il Poeta facesse da Dottore, il lazzo anderebbe bene).
Pocquelin, qui prit alors le nom de Moliere, faisoit de petites comédies pour les provinces, le docteur amoureux, les trois docteurs rivaux, le maître d’école, & quelques autres qui n’ont point été imprimées.
Le Docteur surprend Arlequin, le fait arrêter : on le condamne à être pendu ; il paroît au milieu des soldats, à qui il dit de se dépêcher, qu’on n’a qu’à le pendre bien vîte, parcequ’après cela il doit aller souper en ville. […] Le Docteur vient pour parler au Prince, le touche, & demeure enchanté.
Les Italiens jouent un canevas intitulé le Docteur Avocat des Pauvres, dans lequel le fils de Pantalon, après avoir tué à son corps défendant le fils du Docteur, est prêt à perdre la vie. Pantalon compte sur la probité du Docteur, lui remet sa cause : le Docteur la plaide & la gagne.
Il regrettait fort qu’on eût perdu sa petite comédie du Docteur amoureux, parce qu’il y a toujours quelque chose de saillant et d’instructif dans ses moindres ouvrages.
Le Docteur amoureux, joué depuis à Paris en 1658*. Les Trois Docteurs rivaux. […] Du 13 avril, Le Docteur pédant. […] Il fait supporter l’usure au fils même de l’Avare, en qui elle devient plus naturelle, que le Docteur qui n’est que dévot. […] Dans les Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière, après avoir parlé du succès des deux premières comédies de Molière (L’Étourdi et Le Dépit amoureux) à Béziers, on ajoute : « On donna même des applaudissements à quelques farces qui, par leur constitution irrégulière, méritaient à peine le nom de comédie ; telles que Le Docteur amoureux, Les Trois Docteurs rivaux, et Le Maître d’école, dont il ne nous reste que les titres.
À la fin de cette pièce du Triomphe de la médecine, lorsque Scaramouche avait consenti au mariage de sa fille avec Cintio, à condition qu’on le fera recevoir docteur en médecine, on en faisait la cérémonie et l’on récitait les vers macaroniques composés par Molière, en les amplifiant beaucoup et en y ajoutant la bastonnade qui était traditionnelle sur le théâtre italien « et inséparable de l’action ». […] Voici quelle était, en 1682, la composition de la troupe italienne, d’après « l’état de la dépense pour les comédies représentées devant Monseigneur le Dauphin, pendant le carnaval » : Les sieurs Octave, Cintio, Scaramouche, Dominique, Spezzafer (c’était probablement un nouvel acteur qui avait repris ce type disparu pendant quelque temps), le Docteur, Flautin (Giovanni Gherardi engagé en 1675).
Mauvillain, Jean-Armand de : docteur en médecine, doyen de la faculté de Paris en 1666, ami intime de Molière.
Boileau a regretté la perte du Docteur amoureux. […] monsieur le docteur, écoutez-moi de grâce ! Le Docteur. […] Sa troupe représenta Nicomède et le Docteur amoureux, celte pièce regrettée par Boileau. […] Un docteur fait à coup de bâtons n’est-ce pas une chose éminemment plaisante ?
On chassa ces docteurs prêchant sans mission; On vit renaître Hector, Andromaque, Elion Seulement les acteurs laissant le masque antique, Le violon tint lieu de chœur et de musique. […] Le rôle de la Vierge est traité avec un soin infini : c’est déjà ce type pur, cette idéalisation de l’amour maternel, dont les peintres nous laisseront tant de vives images; Quand elle retrouve Jésus après la discussion au Temple avec les Docteurs : O mon doux enfant gracieux, lui dit-elle en l’embrassant, Fils de toute douceur parfait, Mon cher fils, que nous as-tu fait? […] La scène de Jésus demandant le baptême à Jean (I. 8.) est comme la contrepartie de celle-ci ; car il y a dans toute cette composition dramatique du Mystère une science des contrastes vraiment remarquable : « Tu es précepteur, je suis serviteur, dit Jean au divin néophyte ; Tu es le pasteur, ton ouaille suis ; Tu es le docteur, je suis l’auditeur; Tu es le docteur, moi consécrateur, Sans qui rien ne puis.
Le Docteur amoureux Comédie en prose et en un acte, de M. […] « Ce compliment, dont on ne rapporte ici que la substance, fut si agréablement trouvé, et si favorablement reçu, que toute la Cour y applaudit, et encore plus à la petite comédie, qui fut celle du Docteur amoureux a. […] Comme il y avait longtemps qu’on ne parlait plus de petites comédies, l’invention en parût nouvelle, et celle qui fut représentée ce jour-là divertit autant qu’elle surprit tout le monde ; M. de Molière faisait le Docteur, et la manière dont il s’acquitta de ce personnage le mit dans une si grande estime que Sa Majesté donna ses ordres pour établir sa troupe à Paris. […] Il regrettait fort qu’on eût perdu la petite comédie du Docteur amoureux, parce qu’il y a toujours quelque chose de saillant et d’instructif dans ses moindres ouvrages.
Molière, de retour à Paris, rapportait dans son bagage deux grandes pièces déjà jouées en province : L’Étourdi, ou les Contre-temps et Le Dépit amoureux, et quelques farces par lesquelles on avait coutume de terminer le spectacle, et dont l’une, Le Docteur amoureux, valut principalement à la nouvelle troupe, dans l’importante représentation du 24 octobre, la faveur du roi et de la cour. […] De celles de ces farces qui ne nous sont point parvenues, plus d’une, sans doute, avait son point de départ dans la comédie de l’art : ainsi, ce Docteur amoureux, dont Boileau regrettait la perte, était certainement de la grande famille des pédants dont la savante Bologne fut la cité natale. […] On y voit Dominique sous son costume d’Arlequin, Brighella, Scaramouche, le Docteur, Pantalon, etc., associés aux types français : Turlupin, Gros-Guillaume, Gautier-Garguille, Guillot-Gorju, Jodelet, Gros-René et Molière, qu’on se scandaliserait volontiers de nos jours de voir en cette compagnie.
On veut profiter de l’absence du héros pour déterminer l’héroïne à épouser le Docteur. […] L’amour lui inspire de mettre une terrine sous ses jupes : le Docteur se méprend sur l’enflure, & ne veut plus de Manzelle Zirzabelle.
Le Docteur qui passe, en reçoit une sur la tête. […] Le Docteur & Celio lui font la même menace ; l’un, pour le punir de lui avoir cassé la tête ; l’autre, de l’avoir volé.
C’étaient les Trois docteurs rivaux et le Maître d’école. […] Or, cette farce du Maître d’école, aujourd’hui disparue, composée à peu près à la même époque que le Médecin volant, la Jalousie du Barbouillé, les Docteurs rivaux, le Testament, le Docteur amoureux, existait encore au siècle dernier dans le cabinet de M. de Bombarde (voir la Valise de Molière, de M.
Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile, Et laisser la science aux docteurs de la ville ; M’ôter, pour faire bien, du grenier de céans Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l’aspect m’importune ; Ne point aller chercher ce qu’on fait dans la lune, Et vous mêler un peu de ce qu’on fait chez vous, Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
« Le sieur Angelo, Docteur de l’ancienne Troupe Italienne, m’a dit (c’est M.
Ce bon Père lui envoya ensuite le Maître chez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses Études, espérant que par l’autorité que ce Maître avait eue sur lui pendant ces temps-là, il pourrait le ramener à son devoir ; mais bien loin que le Maître lui persuadât de quitter la Profession de Comédien, le jeune Molière lui persuada d’embrasser la même Profession, et d’être le Docteur de leur Comédie, lui ayant représente que le peu de Latin qu’il savait le rendrait capable d’en bien faire le Personnage, et que la vie qu’ils mèneraient, serait bien plus agréable que celle d’un Homme qui tient des Pensionnaires.