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118. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Mais enfin, avec tous ces avantages, elle ne plairait pas tant, si sa voix était moins touchante. […] Dans l’intention d’offrir à sa femme le rôle d’Angélique, et sachant combien la douceur de la voix ajouterait à l’expression des sentiments naturels, il avait su rendre ce rôle assez aimable, pour l’aire applaudir d’un bout à l’autre l’actrice qu’il en chargerait. […] Est-ce adoucir sa voix, au son des grosses pièces ? […] Il n’y allait pas en mata-dore, je le jurerais, plus du poing que de la main, et plus de la voix sonore que du mot alertement lancé. […] Dans Arnolphe, la cabale reconnut quelqu’un des siens, un homme moral et pur à sa manière, et, tout d’une voix, elle cria comme si on l’écorchait vive.

119. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380

Le Roi enchanté se livre à la joie avec ses hôtes, & demande une chanson : on fait venir un valet nommé Joseph qui a une voix admirable.

120. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475

et des voix qui concertent depuis longtemps (au théâtre), se fassent entendre.… Parce qu’on ne danse pas encore aux Théatins, » demande enfin La Bruyère, « me forcera-t-on d’appeler tout ce spectacle office divin144 ? 

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