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146. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29

En 1609, Henri mit le comble aux ressentiments de la reine, et au scandale de la cour et de la ville, par sa passion effrénée pour Charlotte de Montmorency, qu’il avait mariée au prince de Condé, son neveu, et, selon plusieurs, son fils3.

147. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

On constate sa présence, et son succès à Rouen, ville très littéraire aîors5 Lyon, Grenoble, Montpellier, Béziers, Pézenas. […] Pendant quinze ans Molière joua pour la Ville sur son théâtre, pour le Roi et la Cour à Fontainebleau à Versailles, à Chambord. […] Il a été, à partir de 1658, dévoré par la Cour et la Ville et il n’a presque peint que l’une et l’autre. […] Considérée comme œuvre de polémique elle attaque le goût régnant dans la ville ; considérée en soi elle est une pièce sans sujet. […] Molière l’a vu dans Paris ou en province ; il est un des bourgeois qu’il a observés non loin des Halles dans sa première jeunesse ou dans quelque ville au cours de ses campagnes théâtrales.

148. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96

Si une ville de l’antiquité avait adopté la constitution développée dans le second ouvrage de Platon, les citoyens de cette ville auraient été comparés entre eux et jugés d’après la conformité de leur conduite avec l’idéal inférieur des Lois. […] N’eussent-ils pas admiré la ville où la République aurait été réalisée, plus que celle où l’on s’en serait tenu aux Lois ?

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