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183. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Le Destin, l’Olive et la Rancune, du Roman comique, ont chacun un valet « prétendant à devenir un jour comédien en chef » ; et tel d’entre eux récite « déjà sans rougir et sans se défaire ». Ces sortes de valets étaient des élèves. […] Jeanne imagina un tour digne d’un valet de la farce italienne.

184.

Ce poète basque, autrement dit Le Bachelier André, Dominique, Jouanchaye, est un fou, qui arrive de la Biscaye (vous voyez la rime) avec son valet Bidache, son élève Godenèche, et treize pièces de théâtre en manuscrit, destinées aux Comédiens de l’Hôtel de Bourgogne. […] Entre son valet : ÉRASTE Ah ! […] Ici encore, on en conviendra, l’analogie est frappante ; et la servante de Shakespeare est cousine germaine du valet de Molière.

185. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

Enfin, en descendant des vices aux travers, Tous les faux sentiments sont par lui découverts : Le Bourgeois, dédaignant les vertus paternelles, Cherche parmi les grands de dangereux modèles, Le Valet qui naquit probe, sincère et bon, Veut imiter son maître et devient un fripon ; Le Médecin, gonflé d’orgueil et d’ignorance, Assassine les gens au nom de la science ; Dans sa prose ou ses vers un mauvais Écrivain Substitue à la langue un jargon fade et vain ; Et la Femme, suivant de pédantesques traces, Immole aux faux savoir son esprit et ses grâces !

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