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51. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « [Introduction] » pp. 1-4

De l’imitation par rapport à la Tragédie.

52. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Chaque distribution de prix avait là son théâtre, son spectacle, sa tragédie. […] Il ne leur faut pas moins que cette somme, pour payer leur loyer d’abord ; puis, pour acheter deux tragédies, dont leur répertoire, un peu trop dénué, éprouve le besoin. […] Il est poète aussi, la tragédie est sa chimère : or, comme déjà la seule vanité de notre grand comique est d’être lui-même un auteur et un acteur de tragédie, ils s’entendent à merveille. […] On savait toujours qu’après la tragédie viendrait la farce, mais on ignorait quelle serait cette farce et surtout quels en seraient les détails. […] L’alexandrin ne servait guère alors, en effet, que dans la tragédie.

53. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

C’était le même besoin d’échapper aux grands comédiens, aux célèbres comédiennes, aux tragédies aux vers alexandrins. […] Le Fat puni, par M. de Pont-de-Veyle, Géta, tragédie de Péchantré, Habis, tragédie de madame Gomez, deux Hypermnestre en cinq actes, la première signée Lemierre, et la seconde signée Riouperaux. […] Quand elle ne jouait pas la tragédie, madame Sainval se cachait sous un voile noir qui la couvrait de la tête aux pieds. […] Un de ses malades lui lisait une tragédie, et la tragédie, écoutée en riant, devenait un vaudeville ! […] c’est la tragédie qui passe !

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