La scène sixième du deuxième acte, entre Arnolphe et Agnès, admirable pour la vérité, le plaisant et le contraste d’un vieillard jaloux et fin, et d’une jeune sotte qui lui dit tout ; la deuxième scène du troisième acte, entre Arnolphe et Agnès, où il lui explique les devoirs du mariage ; la quatrième du deuxième acte, où Horace lui confie la manière dont Agnès lui a fait parvenir sa lettre, sont des modèles de comique.
Il condamne absolument Tartuffe 227, et le met aux prises avec un bourgeois sot et crédule, qu’on verrait sans pitié ruiné par l’imposteur s’il n’avait une femme et des enfants intéressants228.
Que son mari soit sot et crédule359, que sa belle-mère vienne se mêler de donner chez elle des avis absurdes360, son affection ni son respect pour eux ne sont pas diminués.