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113. (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605

On eut soin même de lui faire obtenir la survivance de la charge de valet de chambre tapissier chez le roi ; mais son aversion pour sa profession, & son penchant pour l’étude l’engagerent à solliciter son grand-pere qui le menoit quelquefois à la comédie à l’hôtel de Bourgogne, de porter son pere à le faire étudier.

114. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197

Et toujours le soin des fêtes se mêle à celui des affaires, et ces fêles sont toujours des spectacles qui mettent la royauté en évidence et en honneur.

115. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105

Alphonse, Prince légitime de Léon, mais encore enfant, échappe au tyran par les soins de son Gouverneur, qui le confie au Roi de Castille. […] Par ces fréquents soupçons, qu’on trouvoit odieux, Je cherchois le malheur qu’ont rencontré mes yeux ; Et, malgré tous vos soins & votre adresse à feindre, Mon astre me disoit ce que j’avois à craindre. […] La Princesse exhorte ses femmes à ne pas orner ses cheveux de fleurs & de diamants, à se donner moins de soins pour cacher les défauts de sa figure, ou pour en augmenter les attraits, puisque sa beauté ne serviroit qu’à la rendre malheureuse en redoublant la jalousie du Prince qu’elle aime.

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