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120. (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-

Le véritable public devint l’instrument de quelques sots et de quelques précieuses ; Boileau seul tint bon, et, peu de temps après, Louis XIV lui ayant demandé quel était le plus grand écrivain qui eût honoré le siècle, il répondit aussitôt : Molière. […] Quatre pistoles , répondit le jeune homme. […] « Nous ne le savons point, dirent-ils ; son inclination ne parait pas encore : cependant il récite continuellement des vers. — Hé bien, répondit l’avocat, que ne le mettez-vous dans cette petite troupe de monsieur le dauphin, qui a tant de succès ?  […] « Non seulement trois, répondit Molière, mais huit, à condition qu’il n’ira point chez vous, et que je le ferai toujours accompagner par un homme qui le ramènera dès que la pièce sera finie. »Et cela de peur que cette femme et Olivier ne séduisissent l’esprit du jeune homme, pour le faire retourner avec eux. […] On dit que Molière, en faisant répéter cette pièce, parut mécontent des acteurs qui y jouaient, et principalement de mademoiselle Beauval, chargée du rôle de Toinette ; cette actrice, peu endurante, après lui avoir répondu assez brusquement, ajouta : « Vous nous tourmentez tous, et vous ne dites mot à mon mari ?

121. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [30, p. 59] »

Je ne le croyais pas, répondit le roi ; mais vous vous y connaissez mieux que moi.

122. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

» Et Sbrigani répondra : « Par ma foi, voilà une grande dupe !  […] Les dates répondent mieux encore que les raisonnements. […] » On eût pu répondre à MM. de l’hôtel de Bourgogne que cela, vraiment, est déjà quelque chose. […] Il faisait contre mauvaise fortune bon cœur et répondait avec esprit à ces sottises. […] À quoi Frosine répond : “Votre fluxion ne vous sied point mal, et vous avez grâce à tousser.”

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