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103. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164

Mon meilleur ami & mon compatriote Géta vint hier me trouver : je lui devois encore quelque petite bagatelle d’un reste de compte : il me pria de lui ramasser ce peu d’argent. […] Je t’en prie, Géta, cherche, afin qu’il n’aille pas faire des choses dont nous serions fâchés.

104. (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38

Peut-être est-ce pour cela, messieurs, que vous êtes accusés de tyrannie par beaucoup d’écrivains généreux; quant à moi, je vous prie de croire que j’ai tout le respect voulu pour votre suprématie sociale, puisque je le partage, mais je n’en suis pas plus fier, et si un de mes fils a l’idée de faire des comédies, je l’engagerai paternellement à ne s’occuper que de nos victimes.     […] Je vous prie de me pardonner, j’avais ma thèse; et d’ailleurs, sur Molière, tout a été dit si souvent et si bien !

105. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

À quoi bon, je vous prie, souffler sur ces cendres éteintes ? […] Et pourquoi faire, je vous prie ? […] — « Puisque vous la connaissez, reprit madame de Mailly, priez pour elle !  […] Un jour, au cabaret, Boileau, qui venait de lire des vers, priait Molière d’en lire à son tour : « Ah ! […] » Qu’est-ce que la pantoufle rouge, je vous prie ?

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