Cependant l’aventure du Minime m’a réjoui ; elle est d’esprit ; et l’Auteur l’a assez bien rendue : car je fais justice sans prévention, et je ne prétends point, quand il verrait cette Lettre, m’attirer son mépris.
M. d’Aubignac prétend, comme le lecteur l’a vu dans le chapitre précédent, qu’on doit mesurer la longueur des entr’actes au temps dont les acteurs ont besoin pour exécuter ce qui est censé se passer derriere la scene.
Ensuite paroissent un cul-de-jatte qui prétend être un grand danseur ; des sauteurs, des chanteurs, des joueurs de gobelets, des faiseurs d’équilibres, &c. selon les différents talents des acteurs qui se trouvent dans la troupe.