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106. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150

tout beau, s’il vous plaît... […] Vous plaît-il, mon secrétaire, enfin Faire mes volontés ?

107. (1900) Molière pp. -283

Il y a des vocations spéciales pour les femmes, comme pour les hommes ; à Dieu ne plaise qu’il faille les en exclure. […] Il a le don de plaire : cela n’est que trop sûr au gré de beaucoup de gens. Plaît-il toutefois avec raison ? […] CÉSAR Et qui donc, s’il te plaît ? […] Et plût au ciel que tu eusses toujours été aussi sage !

108. (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-

Mais telle est la vérité profonde du portrait et la plénitude des détails, qu’à toutes les époques on a pu en montrer au doigt les originaux, et aujourd’hui encore le parterre se plaît à substituer au nom de Tartufe des noms contemporains. […] Tel était l’emploi que Molière faisait d’une fortune considérable : il avait environ trente mille livres de revenu, ce qui représentait alors une valeur triple d’aujourd’hui ; sa maison, située dans la rue de Richelieu, était montée sur un grand pied, et les hommes les plus célèbres de l’époque se plaisaient à la fréquenter. […] Voici comme ils s’expriment : « Quoique la taille de cet acteur ne passe guère la médiocre, c’est une taille bien prise, un air libre et dégagé, et, sans l’ouïr parler, sa personne plaît beaucoup. […] Elle y débuta avec succès14 ; mais ayant été jouer devant le roi à Chambord, elle n’eut pas le bonheur de plaire au monarque, qui, s’en expliquant nettement avec Molière, lui dit qu’il fallait donner à une autre le rôle de Nicole qu’elle devait remplir dans Le Bourgeois gentilhomme. […] Cette observation détruirait les calomnies que Montfleury se plut à répandre sur Molière, lors même qu’on n’aurait pas l’acte de mariage de ce dernier avec Armande Béjart, qui était la sœur et non la fille de Madeleine Béjart.

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