/ 165
111. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

Il se jeta aux pieds du roi ; mais, bien que la dame joignît ses supplications aux siennes, Auguste demeura inexorable.

112. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

J’allais souvent de l’une à l’autre, à pied, déguisée, portant sous mon bras du linge, de la viande, et je passais quelquefois les nuits chez un de ces enfants malades dans une petite maison hors de Paris.

113. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

En effet, ce pouvait être vraiment une manière de personnage qu’un valet de chambre du roi, dans un temps où des gens de race, des gens de qualité, n’hésitaient pas, pour prendre pied à la cour, à payer chèrement telle charge de bas officier, comme de « piqueur du vol pour corneille », ou de « garçon de lévrier ». […] « Le corps, dit un témoin oculaire, pris rue Richelieu, devant l’hôtel de Crussol, a été porté au cimetière saint-Joseph et enterré au pied de la croix. […] Nos troubles l’avaient mis sur le pied d’homme sage, Et pour servir son prince il montra du courage.

/ 165