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111. (1910) Rousseau contre Molière

Une pareille haine ne serait pas un défaut ; mais une dépravation de la nature et le plus grand de tous les vices. […] Je tremble du danger que court cet inconnu, Comme si le pareil nous était advenu. […] Or, il n’y a pas l’ombre de pareille chose non seulement dans Molière, mais dans Rousseau. […] On peut s’étonner même que, sinon Bélise, du moins Philaminte subisse le charme d’un pareil grotesque ; et ceci est d’un intérêt assez général. […] Osons le dire sans détour : qui de nous est assez sûr de lui pour supporter la représentation d’une pareille comédie sans être de moitié des tours qui s’y jouent ?

112. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117

Un pareil ordre, s’il étoit possible de le donner ou de le faire exécuter, décideroit la vocation des Auteurs.

113. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445

Il est absolument possible que cet homme préoccupé dicte un nom pour un autre, & fasse précisément le contraire de ce qu’il a projetté ; cependant il seroit ridicule de bâtir une piece comique sur une pareille méprise.

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