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234. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492

De son côté le Marquis, joueur aussi déterminé que le Chevalier, mais plus adroit, ne paroît que pour gagner à celui-ci son argent, ses bijoux, le portrait de sa maîtresse, le seul contrat qui lui reste, & cinq ou six cents louis sur sa parole. […] (Il regarde, & en voyant entrer Beverley, il paroît effrayé.)

235. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276

Le Marquis de Lon... eut la patience d’écouter toutes ses plaintes sans en paroître ému. — Monsieur, répliqua-t-il au jeune Comte, si j’ai eu quelque bonté pour vous, ç’a été uniquement par rapport à votre mere, que je ne me défends pas d’avoir aimée. […] Mélanide paroît, tombe avec son fils aux pieds du Marquis, qui reconnoît ses torts, embrasse sa femme, & marie Darviane avec Rosalie.

236. (1818) Épître à Molière pp. 6-18

Le Tartuffe a paru nous voilà rassurés ! […] Nous ne demandons pas la licence du Théâtre, plus dangereuse encore dans des ouvrages dramatiques que dans des écrits destinés à moins de publicité, mais il nous paraît absurde que des agents de la Police jugent sans appel les productions du génie.

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