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99. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157

Il nous a transmis dans ce livre un grand nombre de renseignements intéressants, dont plusieurs sont utilisés dans l’aperçu historique que nous traçons.

100. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351

Quoique les productions sans nombre que nos théâtres voient éclore chaque année, n’offrent pas, en général, les conditions d’une longue durée, qui sait pourtant si les éléments comiques qu’elles renferment sont destinés à périr à jamais ?

101. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Nombre d’honnêtes gens jureraient que Molière s’était attribué des lettres de marque pour courir en corsaire sur ses contemporains. […] Qu’on ne s’étonne pas du nombre. […] Les pratiques de son père, qui en avait bon nombre et de première noblesse, l’amusaient aussi, par tout ce qu’il entendait dire aux valets qui venaient faire les commandes. […] Un fragment du Tartuffe est du nombre : c’est la fameuse tirade de Cléante sur la différence des vrais et des faux dévots. […] Ses ennemis lui en firent en crime ; ses amis, je dis les plus sévères, et Boileau est du nombre, le lui reprochèrent souvent : lui seul n’en rougit pas.

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