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182. (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347

Une licence épouvantable règne partout, et les magistrats, qui sont établis pour maintenir l’ordre dans cet Etat, devraient mourir de honte, en souffrant un scandale aussi intolérable que celui dont je veux parler (21). » Voilà pour l’école. […] Malade, mourant presque, à la vue de ses compagnons qui n’avaient plus pour vivre que son travail et ses souffrances, il n’hésite pas ; une dernière fois il leur sera utile, il jouera, c’est-à-dire il mourra, pour les empêcher de souffrir.

183. (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35

— Adieu mon père, Lié suis, de bref je mourrai, Plus ne vois la lumière clère. […] Adieu, mon fils. — Adieu, mon père, Lié suis, de bref je mourrai. » Voilà qui est touchant, pathétique et simple ; c’est la nature qui parle, et l’Iphigénie de Racine n’a peut-être pas fait couler plus de larmes que ce naïf dialogue.

184. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

Ménandre mourut à l’âge de 52 ans, admiré de ses compatriotes. […] Il mourut l’an 184 avant J. […] Térence sortit de Rome à 35 ans, & mourut dans un voyage qu’il alloit faire en Grece, vers l’an 160 avant J.

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