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67. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322

Arlequin demande où est cet ami : Célio lui montre son bâton. […] Dans ce qui m’échappe il y a je ne sais quoi de passionné, qui montre assez que je vous aime encore, quoique vous ne le méritiez pas : mais la cruelle froideur que vous venez de me faire voir, me dit clairement que je ne suis pas aimé, quoique je méritasse de l’être ; & si, après m’en avoir tant de fois assuré, ma surprise semble ridicule, apprenez que vous ne me l’aviez jamais dit sans être en colere ; & que, pour dire que l’on n’aime pas, la colere ne persuade pas si bien que l’indifférence.

68. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Alcmene lui montre, pour le confondre, le présent qu’elle a reçu de lui-même. […] Voilà comme un valet montre pour nous du zele !

69. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

S’il est tué, il ne reviendra pas ; mais on vous remettra sa bague & sa montre. […]  Monseigneur, humblement supplie    Hector Criquet,  Et vous remontre en ce placet, Qu’il montre l’éloquence & la philosophie, Les langues, le blason & la géographie,   La médecine & les loix,  La marine & l’astrologie,   La guerre & la magie,  Et mille autres arts à la fois.

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