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97. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419

Oronte veut marier sa fille Julie avec M. de Pourceaugnac qu’il n’a jamais vu.

98. (1802) Études sur Molière pp. -355

Dans Boccace, l’héroïne est mariée, Molière nous épargne cette indécence. […] Dans la scène xiv, Sganarelle refuse d’épouser, « parce qu’il veut imiter son père et tous ceux de sa race qui ne se sont jamais voulu marier ». Malleville avait dit : Résous-toi d’imiter ton père, Tu ne te marieras jamais. […] Le père de dom Juan se trouve en Castille, je ne sais comment ; il fait des réprimandes à son fils, qui les reçoit très mal, et se mêle à une noce champêtre pour séduire la mariée. […] Les deux vieillards reviennent ; Chremès, bien fâché de n’avoir pas trouvé sa fille à Lemnos, parce qu’il voulait la marier à son neveu Antiphon ; Demiphon, encore plus fâché de trouver ce même Antiphon marié.

99. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351

Il n’est pas jusqu’à la Ruffiana qui ne montre le bout de sa cornette, quand Frosine essaye de marier Harpagon à la belle Marianne.

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