C’est certainement une idée heureuse que celle de supposer qu’un homme, déjà sur le retour et voulant pourtant se marier, élève une fille dans une ignorance absolue de toutes choses, pour qu’elle lui reste fidèle, et que le résultat de cette éducation soit exactement le contraire de celui qu’il voulait obtenir. […] Avec un talent médiocre, sans originalité et sans gaîté, sans richesse d’invention, et même sans aperçus bien fins sur les hommes et sur la société, il a pourtant montré d’une manière honorable dans Le Glorieux, Le Philosophe marié et même dans L’Irrésolu, ce que peuvent le travail et la constance du zèle.
Diana lui annonce qu’avant de se marier elle préféreroit de passer un cordon à son cou.
Hoffman (Le Roman d’une heure) ; jusqu’à Picard (Les Ricochets et L’Acte de naissance) ; jusqu’à Wafflard et Fulgence (Le Voyage à Dieppe et Le Célibataire et L’Homme marié). — J’omets, comme étrangère, une pièce traduite de Kotzebue, Les Deux Frères. — Voilà quel gros de comiques sépare les grands classiques, à jamais admirables et aimables, des contemporains.