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160. (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35

Le malade redouble ses étranges et impétueux radotages, il menace, il crie, il supplie, il parle picard, normand, gascon, latin, charabias; on n’y comprend plus rien.

161. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

Il connut par là les goûts du siècle ; il vit qu’il était malade, et que les bonnes choses ne lui plaisaient pas.

162. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

II, page 5 : V : « Nous n’avons pas droit de rendre misérables ceux que nous ne pouvons rendre bons. » B : « Sublime. » II, page 7 : V : « L’estime s’use comme l’amour. » B : « On se lasse de parler de l’homme estimable, mais dans le cœur l’estime survit. » II, page 8 : V : « Le trafic de l’honneur n’enrichit pas. » B : « Walpole. » II, page 13 : V : « Ce qui est arrogance dans les faibles, est élévation dans les forts ; comme la force des malades est frénésie, et celle des sains est vigueur. »  B : « Jamais peuple n’est plus terrible et plus prêt à envahir que lorsqu’il est en révolution. […] Lu à Milan le 8 mars 1816, malade de battemens d’artère nerveux. […] Si c’est le prince lui-même qui lui fait cet honneur, il veut se plaindre, il s’avance fièrement vers lui, et, en approchant, le respect le saisit à la gorge (comme Sganarelle armé de pied en cap dans le Malade imaginaire, Grandmesnil), il ne peut plus que balbutier.

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