Puis on pourrait citer les personnages de la cour et de la noblesse qui ont figuré dans les divertissements de Molière, et tout d’abord le Roi qui dansa en Égyptien dans Le Mariage forcé et en Maure de qualité dans Le Sicilien, et Monsieur le Grand, et Madame, et le marquis de Villeroy et Mlle de la Vallière et Mlle de Brancas, et le duc de Guise et le duc de Noailles, et le comte d’Armagnac et M. d’Artagnan, etc., etc. […] Mmes Noblet, en Philaminte ; Bonval, en Marinette ; Nathalie, en Arsinoë ; Marquet, en Lucile ; Jouassain, en Bélise.
Madame éclata de rire, et le sermon en fut tellement interrompu, qu’on ne savait ce qui en arriverait. » La renommée de l’orateur était désormais à ce sommet où elle resta sans décroître. […] Il s’adresse aux femmes ; la leçon qu’il leur fait n’est pas inopportune aujourd’hui : « C’est de vous, mesdames, le savez-vous, et jamais y avez-vous bien pensé devant Dieu ?
Ici, toutefois, ce fut l’entremetteuse, la Ledoux, qui, moins heureuse que Mme de la Motte, resta entre les mains de la justice ; La Tourelle, dont plus tard la demoiselle Oliva reprit le rôle, parvint à s’enfuir.