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56. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Cette disgrace insigne Est le fatal présent de quelque main maligne, Quelque méchant esprit rencontré sur ses pas. […]  Est-ce songe, est-ce ivrognerie,  Aliénation d’esprit,  Ou méchante plaisanterie ?

57. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

Je veux parler de La Métromanie de Piron et du Méchant de Gresset. […] Le Méchant est une de ces pièces affligeantes, qu’un misanthrope atrabilaire pourrait voir avec plaisir comme une justification de son horreur pour la société, mais qui ne peuvent produire qu’une impression pénible sur des esprits doux et bienveillants. […] Et pourtant, si l’on en croit l’assertion des Aristarques français, Le Glorieux, La Métromanie et Le Méchant sont les seules comédies que le dix-huitième siècle ait à opposer à Molière.

58. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102

or tant bien cultivées, Seront par un méchant barbare déblavées !

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